« A ma vie » "Amavi" -"j'ai aimé"en Latin
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La devise des ducs de Bretagne et ses armoiries aux neuf hermines de l' Ordre de l' Hermine et de L' Épi trônent le sommet du porche sud de la chapelle de Saint Herbot
Le début des travaux de la chapelle date de 1498 qui a été financé par Anne Monfort de Bretagne (1477-1514), puis poursuivis par sa fille et par les Valois .Cet ordre fut supprimé lors de l'annexion du duché par la France en 1532
"Amavi" -"j'ai aimé"en Latin. Il s'agit d'une libre déclinaison, tardive, de la devise des Monfort Ducs de Bretagneet de l'"Ordre de l'Hermine A ma Vie
La devise, telle qu'elle est prononcée, correspond en effet à la première personne du passé du verbe latin amare,« j'ai aimé ». A partir de là, on peut tout supposer : l'amour de la Bretagne, l'amour du chef, donc du duc, l'amour des autres, le compagnonnage fraternel Cette interprétation aurait au moins le mérite de situer l'ordre dans son contexte historique et social, mais avec une tonalité quelque peu ésotérique. Il ne faut pas non plus oublier que l'Ordre de l'Hermine était le seul ordre, à l'époque tout au moins, à admettre des femmes dans ses rangs, et qu'on appelait des chevaleresses. Cet aspect un peu particulier n'est pas sans rappeler le rôle qu'ont toujours joué les femmes dans les sociétés celtiques anciennes et même dans l'Eglise celtique d'origine insulaire. C'est un fait troublant et qui ne peut manquer d'intriguer Le siège de l'Ordre de l'Hermine était l'église de Saint-Michel du Champ, près d'Auray, sur le territoire de Brech, à l'endroit où s'était déroulée, à la Saint-Michel, avait voulu, dès 1367, faire édifier ce sanctuaire en mémoire de tous les combattants disparus au cours du combat et particulièrement en expiation de la mort de Charles de Blois,
La marque extérieure consistait en un collier formé de deux cercles d'or concentriques, séparés l'un de l'autre par un espace de trois doigts environ. Cet espace entre les deux cercles était occupé par des hermines d'argent, autour desquelles s'enroulaient des rubans d'émail noir et blanc, ortant inscrite la devise de l'ordre : à ma vie. Le collier était fermé à la partie supérieure comme à la partie inférieure par une couronne ducale, et sous la couronne de la partie inférieure pendait une hermine qui s'étalait sur la poitrine du chevalier. On peut se poser certaines questions quant à cette devise et quant à l'obstination mise à privilégier le contraste entre le blanc et le noir. Certes, le pavillon traditionnel breton était déjà blanc et noir, mais ne s'est-on pas servi de cette opposition qui correspond symboliquement du Yin et yang. Les grandes heures de la Bretagne de Jean Markale
L' Ordre de l' Hermine des Ducs de Bretagne a été créé par le duc de Bretagne Jean IV le Conquérant : en 1381 .La devise « A ma vie » la devise des Monfort , ducs de Bretagne est inscrite dans la pierre ici à Saint Herbot, on distingue l'écu aux neuf hermines de nos neuf évêchés du duché de Bretagne et le collier de l'ordre qui est ici un collier stylisé de deux hermines et une couronne d' épis de blé.
L' écu aux neuf hermines comme celui d' aujourd'hui de notre drapeau de notre nation bretonne et ses neuf évêchés .
« A ma vie »"Amavi" - "j'ai aimé"en Latin. Il s'agit d'une libre déclinaison, tardive, de la devise des Ducs de Bretagne Monfort et de l'Ordre de l'Hermine A ma Vie.
Le cadran solaire, ne cesse de marquer les mêmes heures, été comme hiver, depuis 1587.
L' Ordr
LE ROI ARTHUR ET SAINT HERBOT Et le lion supplanta l' ours!
Les armoiries de l' Ordre de l' Hermine et de L' Épi trônent le sommet du porche sud de la chapelle de Saint Herbot ,l' entrée principale du sanctuaire . Inscrit dans la pierre ,on distingue la devise de l' Ordre de l' Hermine des Ducs de Bretagne qui a été créée par le duc de Bretagne Jean IV le Conquérant en 1381 :« A ma vie » Son écu aux neuf hermines . Son collier de l' ordre est une chaîne stylisée par deux hermines et de l' épi de blé. prouve bien que ce sanctuaire est dédié aux cultes chrétiens des récits arthuriens de La Table Ronde qui concrétisent l'idéal chevaleresque et renvoient à un système éthique , chrétien et militaire idéal qui a inspiré la création des ordres de chevalerie comme celui de l' Ordre de l' Hermine.
Adam dont le crâne, symboliquement, aurait été enterré sur le Golgotha : le sens, ici, est celui de la rédemption de l'humanité par le sang de Jésus. Et comme toute expression de vérités profondes est ambiguë, ne pourrait-on y voir aussi l'initiation par le Graal ? Le culte tardif de saint Herbot, saint votif des bêtes à cornes fausse la symbolique de ce personnage qui n'a jamais excité tel que les légendes d'inspiration chrétienne nous relatent . Durant la guerre de succession de Bretagne (1341-1364) la première chapelle fut détruite soit par les français de Charles de Blois,soit par un contingent Anglais du duc de Bretagne Jean IV le Conquérant Jean de Monfort. le reliquaire contenant le chef du saint et l'histoire de la vie de saint Herbot disparaissent. Pourquoi ce saccage,d'un lieu saint ,cela ne va pas dans le temps d' un moyen-âge très religieux Nous ne sommes plus aux temps des Vikings .Pourquoi ces soudards voulaient-ils récupérer la vita et les reliques de ce obscur saint Anglais, dans un lieu aussi isolé? Ce moine hermite Anglais , saint ermite,un saint patron breton des bêtes à cornes , son existence historique n'est pas confirmé. Le culte de ce saint Anglais, Saint Herbot, doit dater que du début du XII siècles, période ou la Bretagne était sous l' influence des Plantagenêt roi d'Angleterre. Les premiers romans de la Table-ronde furent formalisée et popularisés par Geoffroy de Monmouth.,selon toute vraisemblance un breton dont les parents s 'étaient fixés sur les confins du Pays de Galles d' abord dans ses prophéties de Merlin puis dans son Histoire des Rois de Bretagne parue en latin vers 1135 très datent de cette même période. La création de la chapelle de saint Amboise = (Merlin) date aussi de cette période. Arthur,ce roi mythique que veux nous faire croire d'outre-manche , rode ici , Huelgoat et son oppidun et son kastell ne sont pas loin d' ici .Huelgoat est étroitement associé aux récits de La Table-Ronde . D' après les légendes de Saint Herbot , Ici il s'appelle GAWR , comme dans toutes les traditions indo-européennes concernant le Gargantua le pied du géant glissa; il tomba et il ne se remit pas de sa chute .Il mourut .Notre géant Gawr , peu après et fut enterré sous le tumulus de la crête du Roc'h Bleingueor qui surplombe le hameau de Saint Herbot. Il fut replié neuf ou sept fois sur lui-même,ce qui fait penser à la souplesse d'échine d'un serpent. N'est-il pas en réalité un dragon, un serpent? D'ailleurs saint Herbot, tenu pour le vainqueur , ne serait peut-être pas différent de lui :Ce nom ne vient-il pas du celtique Sarpatos,comme le géant Herpin du Roman de la Table-Ronde.(le S gaulois évoluant en H en breton) .Herpin est aussi un surnom du Diable en breton. , le Serpent celtique. Le gisant du tombeau de Saint HERBOT dans sa chapelle.,il porte la barbe comme les géants Gawr et Hok-bras ,ses pieds reposent sur un lion Pourquoi le lion? Le tombeau de saint EDERN dans l' église de Lannédern tout proche,il a ses pieds nus reposant sur le cerf de sa légende ,dans la légende de ce saint Herbot , il n'y pas de lion,mais des bœufs et un géant . L'explication du lion se trouve dans le roman de la Table -Ronde de Chrétien de Troyes : YVAIN le chevalier au lion qui délivra le lion des griffes du Serpent et au mythe d' HERCULE le vainqueur du dragon ,l 'Hydre de Lerne grace à la peau du lion de Némée qu'il porte. On le retrouve ce mythe sur les frises du chancel de la chapelle de Saint Herbot qui font l' allégorie du mythe occulté de Hercule le Jésus païen. Les modèles antiques supplantent peu à peu l’héritage celtique, la royauté et l’héroïsme s’incarnent dans la figure du lion et non plus dans celle de l’ours symbole du paganisme occidental . Longtemps en Europe le roi des animaux ne fut pas le lion mais l'ours, admiré, vénéré, pensé comme un parent ou un ancêtre de l'homme. Les cultes dont il a fait l'objet plusieurs dizaines de millénaires avant notre ère ont laissé des traces dans l'imaginaire et les mythologies jusqu'au cœur du Moyen Âge chrétien. De bonne heure l'Église chercha à les éradiquer. Prélats et théologiens étaient effrayés par la force brutale du fauve, par la fascination qu'il exerçait sur les rois et les chasseurs et surtout par une croyance, largement répandue, selon laquelle l'ours mâle était sexuellement attiré par les jeunes femmes. Il les enlevait et les violait. De ces unions naissaient des êtres mi-hommes mi-ours, tous guerriers invincibles, fondateurs de dynasties ou ancêtres totémiques. Michel Pastoureau retrace les différents aspects de cette lutte de l'Église contre l'ours pendant près d'un millénaire : massacres de grande ampleur, diabolisation systématique, transformation du fauve redoutable en une bête de cirque, promotion du lion sur le trône animal. Mais l'auteur ne s'arrête pas à la fin du Moyen Âge. Inscrivant l'histoire culturelle de l'ours dans la longue durée, il tente de cerner ce qui, jusqu'à nos jours, a survécu de son ancienne dignité royale. Le livre se termine ainsi par l'étonnante histoire de l'ours en peluche, dernier écho d'une relation passionnelle venue du fond des âges : de même que l'homme du Paléolithique partageait parfois ses peurs et ses cavernes avec l'ours, de même l'enfant du XXIe siècle partage encore ses frayeurs et son lit avec un ourson, son double, son ange gardien, peut-être son premier dieu. L’Ours. Histoire d’un roi déchu Auteur : Michel Pastoureau Editeur : Seuil Le taureau , l' ours et le Serpent représentants des anciens cultes païens sont à l'opposé des animaux symboles de sagesse et de force que sont le bœuf et le lion tel est le christianisme .
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Le sceau Jean V de Bretagne .Ses pieds nus reposent sur un lion.)
Jean V dit le Sage né le 24 décembre 1389 et décédé le 29 août 1442, fils du duc Jean IV fut duc de Bretagne de 1399 à 1442 et qui était aussi le seigneur du Huelgoat..
Motifs sculptés dans la pierre du serpent celtique du AEZROUANT du porche nord de la Chapelle de Saint Herbot.
AN AEZROUANT (Le nom en vieux breton du DEMON et non du Diable ,le Serpent Huant. Arc'houere en breton moderne.
Apocalypse de Jean 13.2 La bête que je vis était semblable à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité.
La sirène de la chapelle de Saint Herbot (Elle se trouve sur la façade de la chapelle de Sainte Barbe.) face à l'ouest.( la statue de la Vierge de la niche a disparue)
Le Demon du calvaire de Saint Herbot.
Le motif du socle de la Croix Neuve.
La sirène de l' ossuaire de l'église de Lannedern. Elle est face à l'ouest.
Arthur est le fils d' Uther Pendragon (la tête de dragon en breton pour Pendragon) .N'est-il pas un dragon ,comme le Gawn?
L' origine des légendes du roi Arthur est d' Armorique et non de Grande-Bretagne .Il y a beaucoup trop de similitudes entre Arthur et Saint Herbot ,comme devaient croire et penser l'aristocratie bretonne dont les ducs de Bretagne (les Montfort alliés aux Plantagennais et aux Tudor, rois des Anglais),ainsi qu' Anne de Bretagne (Anne est la sœur du roi Arthur dans l' Histoire des Rois de Bretagne de Geoffroy de Monmouth ).Ils se disaient tous ces aristocrates descendants du roi mythique Arthur. Les Monfort duc de Bretagne qui étaient le seigneur du comté du Poher sont à l'origine par des dons de la construction de l' actuelle chapelle (une cathédrale dans un lieu désert).Ce ne pouvait pas être les oboles pour le rétablissent de la vache malade des paysans et des petits nobles d'alentour qui auraient pu financer cet édifice monumental.' En 1203 à Rouen, le Meurtre d'Arthur 1er ,jeune duc de Bretagne fut assassiné par Jean -Sans-Terre à qui aurait du revenir normalement l' empire Plandagennais dont l'Angleterre. La construction de la chapelle de Saint Herbot serait-il un veux ,un ex-voto pour un roi martyr, Arthur, assassiné par son oncle felon? Arthur le petit fils et le vrai héritier direct de Henry II de Plantagennais, roi d'Angleterre. Sa sœur Eléonore aurait du recueillir la couronne ducale bretonne et de l'empire Plantagennais elle fut enfermée dans une abbaye d'Angleterre où elle mourut en 1244.( Il y a des similitudes dans ces faits historiques , version anglaise avec l'annexion de la Bretagne par la France deux et demi siècles plus tard avec Anne de Bretagne .) La chapelle de Saint Herbot était un prieuré ducal des Carmes de Rennes. Il y a aucun doute, les ducs de Bretagne ,Anne de Bretagne et leurs héritiés, les roi de France ont financé par cet intermédiaire cette cathédrale perdue dans la forêt armoricaine pour honorer et pour faire don aux repos de l' âme de leur illustre descendant Arthur le breton armoricain et Arthur Ier le duc martyr assassiné par ce roi usurpateur Jean- Sans-Terre qui fut le roi dans toute l'histoire d'Angleterre le plus détestés de ses sujets et de son aristocratie et qui à l'origine de la perte de la Normandie conquise par Philippe Auguste, roi de France. Dans la France de la Renaissance,les Romans de la Table Ronde, tombèrent peu à peu dans l'oubli et deviennent ringard face au classicisme venant d' Italie .Il y a aussi qu'on oublie que la légende dorée catholique de saint Laurent fut popularisé par l' église à la Renaissance .C est la forme christianisée du mythe du Grall des romans de la Table-Ronde. Un jeune homme,un saint laïc un soldat du pape et du Christ. Celui qui sauva la relique du calice de la Cène et du sang du Christ du Gogolta (le calice on le retrouve gravé au pied de nombreux calvaires ) des mains des impies avant son supplice du gril par ceux-ci. (sur le calvaire de la chapelle, on dénombre quatre calices dont un unique dans toutes les représentations de la crucifixion :il est sur le crane d'un nain (Adam).)
Le supplice du gril n'a pas existé chez les romains , ils décapitaient les chrétiens ;mais ce supplice existait en Asie mineur chez les phrygiens, des Grecs. La phryrgie c'est la Galatie romaine peuplée à cette époque de l'empire romain par des gaulois et qui a été évangélisée dès les débuts de l'ère chrétienne par Saint Paul . La légende dans le milieu aristocratique bretonne avait laissé leur origine celtique pour une filiation Troyenne avec BRUTUS. Les bretons descendaient des anciens Grecs. Les bretons qui vivaient ici la langue bretonne , leurs légendes, leurs loisirs comme la Soule et la lutte bretonne, leurs fetes et leurs modes de vie ne pouvaient que des descendants des Troyens . Saint Laurent ,dans les légendes dorées chrétiennes a aussi les mêmes attributs de Sainte Barbe. Il est un jeune homme sacrifié aux divinités par le Grill et le feu sur le sommet d'un oppidun, Nos curés de la Renaissance se référaient à Cesar , dans son Bellum Gallicum qui décrit les gaulois sacrifiant aux Dieux des humains enfermés dans un colosse fait en osier tressé et où on met le feu Ils ont baptisé et dédié ces lieux païens à ce saint martyr. C'est qui explique la présence dans la chapelle de Saint Herbot de ce magnifique vitrail du martyr de Saint Laurent. Le quartier qui est en face de l'oppidun du camp d' Artus du Huelgoat s'appelle la rue Saint Laurent ,celle qui mène aujourd'hui au village de Kervao mais était avant 1920 le prolongement de la rue Saint Yves ( dépaptisée en rue de Berrien par la municipalité communiste stalinienne d'après guerre) au carrefour du seul chemin qui permettait accéder aux sites du bois du Saoulec les chaos de rochers la Roche Tremblante , le Ménage de la Vierge et le Camp d'Artus avant l'aménagement du chemin pittoresque du pont du Chaos en 1922. On dit que Saint Herbot finit sa vie dans une grotte dans les bois du Huelgoat. En 1534, le breton Jacques Cartier en prend possession officiellement au nom du roi de France François Ie la vallée du Saint-Laurent. Il l' a sûrement baptisé ce lieu en référence aux mythes des romans de la Table-Ronde et sa légende dorée christianisée de la Contre Réforme du saint martyr Laurent. le sauveur du Grall. Les espagnols se sont référés aux romans de la Table-Ronde pour donner des noms à ces nouveaux territoires comme l 'Amazonie et la Californie Le roi Arthur est peu connu dans la tradition populaire puisque ces légendes furent récupérés par l'église avec sa légende dorée de saint Laurent le sauveur du Grall et aussi que les romans arthuriens étaient destinées à l'élite aristocratique et des villes et des châteaux du Moyen-âge. Ce qui explique le peu de références d'Arthur en Basse-Bretagne. Dans l'esprit du Moyen-âge , le sacré et le civil sont confondus comme pour l' Islam d'aujourd'hui , saint Herbot et Arthur ne sont qu' un seul personnage, le soldat de dieu et le croyant . (référence Saint Louis ,Charlemagne, etc.). Les siècles ont retenu le saint-homme puisque que le pouvoir et le savoir étaient laissés dans ces campagnes reculées du Menez- Arez étaient aux mains du clergé .La noblesse locale et les clercs se souciaient que récupérer leurs fermages de leurs domaines , les impôts et gérer une justice de proximité. Nos soudards de la guerre de succession de Bretagne croyaient sûrement récupérés des hypothétiques reliques du roi Arthur? Source de Gwenc'hlan Le Scouëzec ARTHUR, ROI DES BRETONS D'ARMORIQUE |
Ce saint chrétien s'est accaparé des mythes classiques de l' Hercule des écuries d'Augias,des bœufs de Géryon et de la tradition orale celtique du dieu des pierres Ogmios en Gaule,( son homologue Hu Gadarn ,le bouvier au Pays de Galles ) et aussi l' AERED,( Le dieu serpent géant celte des profondeurs des eaux de la Terre qui crache ses énormes œufs que sont les rochers de la cascade de Saint Herbot.)
Pline rapporte qu'en Gaule on verrait l'été des serpents se rassembler, s'enlacer, mêlant leurs sécrétions et finissant par former une boule, appelée œuf de serpent. Cet œuf, possédant la propriété magique de flotter contre le courant (même attaché à de l'or), aurait été recherché comme un trésor par les druides qui le tenaient pour un talisman. Il fallait le recueillir très rapidement et s'enfuir à cheval afin d'empêcher la poursuite des serpents (Histoire naturelle, XXIX, 12, 52, éd. Ernout, 1962, 37).
Les apôtres portent chacun une banderole sur laquelle est sculpté la prière du crédo
Le mythe de l' oursin fossilisé de Leintan
Les fresques des anges musiciens
Le calvaire et sa représentation d' ADAM. Ce très intéressant calvaire, sans doute l'un des plus riches et des plus curieux de sa catégorie, est bien méconnu.( Gwenc'hlan Le Scouezec)
La danse à cloche-pied de la grue dédiée à Lug et le culte des queues de vaches
Le chancel et les tables aux offrandes
Le prophète ELIE et l'Ordre Mendiant des Carmes
Les prophètes de la venue du Christ
La frise de la représentation des travaux d' Hercule à l' intérieur du cancel (le lion de Némée ,de l'Hydre du marais de Lerne et des écuries d'Augias,)
Les frises représentant le ciel de la nuit domaine des dieux païens
La chapelle de Saint Herbot fait partie de la premiere liste des monuments français classés de 1840 par Prosper Mérimée.
Notre Dame de Bonne Nouvelle a sous les pieds un croissant de lune ( symbole de l' Islam).
Le temple champêtre du paléolithique supérieur ,le Nematon des druides de la cascade