JACK KEROUAC  sur la route de son ancêtre du HUELGOAT

  Parc ar  ROUZICest le nom d'une rue du Huelgoat . En fait le Rouzic n'est qu'autre que l'ancêtre breton de Jack Kerouac!

  A la recherche des biens et de la maison de Urbain-François Le Bihan sieur de Kervoach (1702- 1736)   décédé le 5 mars 1736 au  Canada sous le nom  Alexandre de Kervoach 

 

Je vais  vous raconter l' histoire et l'origine du nom de lieu au Huelgoat "PARC AR ROUZIC ".Une histoire d' héritage sordide qui 100 ans après qui était encore resté dans les mémoires des habitants du bourg du  Huelgoat lors de l' élaboration du cadastre  en 1844.Tout le pays savait le fond de la vérité  : La spoliation des héritiers de Urbain-François Le Bihan nés au Canada par des faux en écritures du à la cupidité des gens de biens de sa famille . Urbain-François Le Bihan  le frère maudit était décédé chez les peaux-rouges au Canada encore français  et avait été marié et avait eu trois enfants .Il fallait bien récupérer sa part des biens de François-Joachim Le Bihan de Kervoac, son père décèdè en 1727 aux autres membres de sa famille bretonne de Urbain-François  .La famille bretonne savait bien qu' il avait changé de nom et qu'il était mort là bas chez les indiens un an après son décès en 1736

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La maison de son père notable était président de la trève du conseil du fabrique de Saint Yves et était le maire en temps que procureur royal  du fief royal de la ville du  Huelgoat et aussi notaire de la sénéchaussée  du Huelgoat Landeleau Châteaueuf du Faou . A la lecture du livre Jack Kerouac, Breton d'Amérique, Patricia Dagier et Hervé Quéméner, éditions Le Télégramme, je n' arrive pas à situer les biens et sa maison  qu'il a reçu en héritage autour du bourg ? 

  Je me lance pas dans un débat où était la demeure personnel du père mais je pense que l' étude du père notaire serait non pas sur la Place mais dans la cour de la venelle contigue à l' église où il y a cette belle facade d'un manoir breton  .il y avait aussi une autre étude dans la venelle de Karn- ar Guillou .Dans la Rue des Cendres était  le siège du tribunal et de l' auditorium royal ,en contre-bas au bord du lac la prison et son lieu des excécutions capitales.  qui faisaient  aussi office de mairie dirigé par un procureur royal qui administrait la ville du Huelgoat  en vert-bleu sur le cadastre Napoléonien .

 Je pense en plus que son père s'était accaparé des biens au nom de sa belle soeur célibataire qui appartenait à l'origine au domaine du Roi  vu sa profession  assermentée, il n' y avait pas de cadastre en ce temps là !  Les notaires et les notables et même un docteur pendant la première guerre mondiale  s' accaparaient ici les biens des personnes en difficultés financières à vil prix et ils ont fait leurs fortunes sur la misère du peuple  !

La maison du père notaire dans leur livre  ils la situent sur la Place dans la venelle sud de l' ancien cimetière , ceux sont que des bâtiments d' entrepôts et une cidrerie qui appartenaient à l' autre branche des" Le Bihan  "Le Bihan de Kercao" qui jusqu'aux années 1940. étaient  en autre négociants en boissons descendant du frère aussi notaire au  Huelgoat du père de  Urbain-François  . . Si ça  fait plaisir à certains pour raison commerciale qu'il garde  pour les journalistes  et les touristes !

En fait elle a disparu  pour une autre dans les années 1925 ,elle était sur la Place coté lac  et c'est  la deuxième maison au premier plan de ma photo perso de 1900.

 

 

.  Dans le livre Jack Kerouac, Breton d'Amérique, Patricia Dagier et Hervé Quéméner, éditions Le Télégramme, ce serait une maison et ses terres près de la fontaine des Cieux nommée"" PARC TOULL"". Sur le cadastre de 1844, il n’a aucune maison correspondant à cette situation et à ce nom  ""parc toull  "champ de la vallée profonde en français . mais  il y a celle plus caractéristique à cette description  au nord de cette même vallée de la fontaine des Cieux, la fontaine Saint Yves surplombant la vallée escarpée du canal supérieur et le ruisseau des fontaines .

 

Où sont alors la terre et sa maison nommée en 1737"" PARC TOULL "?  La tradition huelgoatain veut que le bourg avait été remanié  lors de l’agrandissement  de l" étang du moulin et la création du canal supérieur de la mine vers les années 1770 en déviant le bief de l' ancien canal qui alimentaint les moulins des fours métallurgiques des ducs de Bretagne. Avant la construction de Nationale 164 le  carrefour de la place " s' appelle Pont ar vourn " le Pont du four.ce pont reliait la rue des  Cieux à la Place et un cours d'eau  y traversait   ( témoignage reçu par sa grand-mère  de ma voisine qui se rappelait  comment était ce lieu !) .

 Je les situe sur le cadastre Napoléonien :ceux sont  les terres qui surplombent la vallée profonde des fontaines qui est parallèle à celle du Chaos et qui va du  bourg au Pont Rouge. Ces grandes parcelles de terres et son unique maison isolée sont en dehors du bourg et elles surplombent aujourd'hui le canal et la fontaine cachée de saint Yves qui est derrière le lavoir d’en face de l' hôtel d' Angleterre .Est elle une maison détruite lors du percement  de la route nationale 164 vers la gare  vers les années 1890 ou celle déplacée de ma sœur Régine qui est plus haut sur le chemin communale escarpé du quartier huelgoatain qui s' appelle aujourd'hui Parc ar  ROUZIC?

Une  ROUSIC( du breton rous  roux bronzé ) est  le nom qu’on donne en dérision à une vache pie- rouge ici dans le  POHER et c'est auusi  le nom  des habitants du pays de  Châteaulin . Ce nom breton de personne Rouzic est  rare dans le Finistère .Je pense à un sobriquet  d'un des propriétaires de ce lieu qui avait marqué l’histoire locale du au reuz lors de sa succession de ce bien appelé alors " PARC TOULL "  mais imputé  des parcelles de bas de vallée longeant le canal supérieur de la mine construit  vers 1770,  un autre nom  des parcelles  restantes devait être donner à celles-ci .

Le Rouzic serait il alors non pas un  jeune rouquin mais le sobriquet  d'une succession en faux en écritures  d'un propriétaire Huelgoatain qui avait vécu chez les peaux rouges d’Amérique que sa famille bretonne avait réussi à spolier d' éventuels héritiers aux Amériques .  Il est bien notre Urbain-François Le Bihan ,sieur de Kervoach, le  canadien , l’américain ou le peau-rouge , l' emblématique ancêtre  huelgoatain des Kerouac d’Amérique?

http://kerouac.huelgoat.monsite-orange.fr/

  La fontaine saint Yves et la maison de Régine et peut être celle de Urbain-François Le Bihan, Le Rouzic, l’ indien,  le peau rouge du Canada du Huelgoat

La fontaine Saint-YVES

photo prise au niveau du chemin de Carn ar guillou à Park Ar Rouzic en 1900

 

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Je sors de l’office du tourisme de Huelgoat dépité. J’ai envie de m’allonger sur ces gros blocs de granit qui m’offrent leurs courbes entre deux cascades. « Kerouac ? Ah oui !Là. Il y a une plaque au coin du pont. Mais sinon, ici il y a la tombe de Segalen. » (Le niveau culturel de l’office du tourisme du Huelgoat a être dépité. Enfin ,c'est pas moi qui le dit .

http://issuu.com/arnaudcontreras/docs/article_kerouac (Super)

Les livres parlent rarement de recherche généalogique. Aussi, ne manquez pas Jack Kerouac, Breton d'Amérique qui vient de paraître aux éditions Le Télégramme. Il relate l'histoire croisée de deux destinées : celle de Jack Kerouac, icône de la beat generation et celle son ancêtre Urbain François Le Bihan, un fieffé menteur débarqué au Québec en 1727 en provenance de sa Bretagne natale. Le livre se lit comme un roman, mais tout est vrai.

Jack Kerouac, décédé en 1969 âgé seulement de 47 ans est un écrivain devenu bien malgré lui une icône des années 1960. Ses deux œuvres les plus connues sont Sur la Route et Les clochards célestes qui sont des hymnes à la liberté, au voyage, à la sagesse boudhiste... et à la découverte de toutes les sensations procurées par les drogues. Des millions de jeunes gens des années 60 se sont reconnus dans ce précurseur des hippies, même s'il n'en fut jamais un. Tout l'intérêt du livre réside dans la quête généalogique secrète de Jack Kerouac. Il recherchait son ancêtre français et malgré plusieurs voyages dans notre pays ne parvint jamais à retrouver sa trace. L'énigme des origines du premier Kerouac arrivé sur le sol américain a été résolue en 1999 et expliquée par la généalogiste Patricia Dagier, co-auteur de ce livre. Quand tout le monde cherchait Maurice-Louis-Alexandre Le Bris de Kervoach, il fallait deviner que l'aïeul, fils d'un notaire de Huelgoat avait quitté la France par peur d'être traduit en justice et avait caché ce lourd passé sous ce faux nom, jamais avoué, pas même à sa famille ! L'enquête généalogique est passionnante et l'évocation de la figure et de l'oeuvre de Jack Kerouac est bienvenue en ce 40e anniversaire de sa mort.

Jack Kerouac, Breton d'Amérique, Patricia Dagier et Hervé Quéméner, éditions Le Télégramme,18€.


Les racines du clochard céleste

jack kerouac  (1922 1969) , écrivain  américain d' origine franco- canadienne , considéré comme le père de la beat génération , le parrain de bob Dylan et de Joan Baez , a consacré les dernières années de sa vie à tenter de découvrir les racines bretonnes de sa lignée il est mort sans l'apprendre .il aurait aimé son ancêtre  né au Huelgoat de la paroisse de Berrien Urbain François Le bihan sieur de Kervoach .Comme lui , Urbain aimait à brouiller les pistes .Il s'était embusqué au plus profond des archives bretonnes et québéquoises .Il aurait fallu des années de recherches pour découvrir ce fils de famille,devenu aventurier, qui traversa l'Atlantique au début du XVII  siècle et arpenta la nouvelle-France,le long du saint Laurent, pour collecter les plus belles fourrures et tenir son rang.Le 9 juillet 2000, une plaque commémorative sera scellée à l'occasion de la visite en Bretagne d'une cinquantaine de Kerouac. Une pierre gravée « Le Bihan » sur l’église Quelle ne fut pas la surprise des Kerouac d’Amérique lorsqu’ils apprirent que leur nom d’origine, Le Bihan, figurait depuis l’année 1698 sur une pierre de l’église de Huelgoat. Et pour cause... Cette année là, le père de l’ancêtre de tous les Kerouac d’Amérique, François Joachim Le Bihan, sieur de Kervoac, notaire sur la grande place, fut nommé « procureur fabrique » et eut pour charge de gérer les comptes de la paroisse et de veiller à la bonne réalisation des travaux de l’église Saint-Yves. Une pierre taillée et placée au dessus du vitrail à l’arrière de l’église le fit entrer à jamais dans l’histoire et la mémoire de Huelgoat.

Les Kérouac d’Amérique reçus cordialement à Huelgoat

La délégation de l’association des Kerouac d’Amérique, réunie dimanche matin à Huelgoat devant l’église à la construction de laquelle a participé leur ancêtre, François Joachim Le Bihan, sieur de Kerouac, en 1698. Pas moins de 3.000 personnes portant le nom de Kérouac-Kirouac-Kyrouack... sont dénombrées au Canada et aux USA et sont regroupées dans une association que préside le généalogiste québécois Clément Kirouac.

Le rêve de tous : « Venir en Bretagne rendre hommage à leur ancêtre François-Joachim Le Bihan, sieur de Kervoac. Notaire à Huelgoat vers 1698 ».Trente-deux descendants, des Québécois, des Canadiens du Manitoba, des citoyens des USA, conduits par Clément Kirouac, sont venus à Lanmeur. Paroisse d’origine de François-Joachim Le Bihan (village de Kervoac) et à Huelgoat où il exerçait la charge de notaire et était « Procureur fabriqué ». A ce titre, il avait été amené à participer à la bonne réalisation de l’église Saint-Yves 1698 (une pierre gravée à son nom est placée au-dessus du vitrail à l’arrière de l’église).Le dimanche 9 juillet 2000 « Nos cousins » d’Amérique ont été reçus très chaleureusement à Huelgoat. A 10 h précises, la délégation était reçue sur la place par Robert Cleuziou, maire et de nombreux Huelgoatains; visite autour de l’église et plus particulièrement près de l’ancienne maison 1698, commentaires sur le bloc de granit placé à l’époque au-dessus du vitrail. A 11 h, dans une église comble de nombreux Huelgoatains et estivants étaient venus à la messe célébrée par l’abbé Kérouanton et à laquelle ont activement participé les familles Kervouac. Une certaine émotion pour savoir que la plupart des membres de la famille Le Bihan de Kervoac ont été enterrés dans cette église aux XVII e et XVIII e siècles. A midi, tous se sont retrouvés avec MM. Kofi Yamgnane, le député-maire, Robert Cleuziou, et plusieurs élus municipaux pour la pose d’une plaque commémorative portant le nom de Kerouac. Dans la grande salle du CAL, Robert Cleuziou a prononcé une allocution de bienvenue, suivie par les vifs remerciements du président des Kerouac d’Amérique, Clément Kirouac et l’allocution du député, Kofi Yamgnane. Jean Moal a alors chanté -parfaitement- la célèbre « Va zi Bihan », suivie par une gavotte des montagnes à laquelle ont participé les Canadiens.

Conférence sur Kerouac et son ancêtre breton : un succès

Le public, composé de descendants de l’ancien notaire de Huelgoat et de nombreux Huelgoatains. On ne peut parler des Kérouac d’Amérique sans évoquer l’écrivain Jack Kerouac, l’auteur de « Au bout de la route... la Bretagne », écrit en collaboration avec Patricia Dagier, généalogiste et Hervé Quéméner, rédacteur en chef « Bretagne magazine ». Cela a été l’objet d’une conférence organisée à la mairie d’Huelgoat dimanche dernier en présence de plusieurs dizaines des descendants de l’ancien notaire. Procureur Fabrique, Urbain François Le Bihan De Kerouac (1668), venu en Bretagne retrouver les traces de leur aïeul. De nombreux Huelgoatains s’étaient joints à eux. Jack Kerouac était l’un de ses descendants. Il est décédé en 1969, mais avait précédemment recherché en vain ses origines et avait pourtant séjourné à Locmaria-Berrien, chez son ami Youenn Gwernic. Comme son aïeul, Jack Kerouac a eu une vie assez mouvementée et est considéré comme le père de la « Beat génération ».Plusieurs sujets ont été exposés à l’occasion de cette conférence de dimanche. Les conférenciers étaient de talent : Patricia Dagier, généalogiste, qui a effectué de longues et minutieuses recherches dans les registres paroissiaux de Brest, de Carhaix-Saint-Trémeur, d’Huelgoat, de Lanmeur, de Morlaix (Saint-Melaine et Saint-Mathieu) de Saint-Pol-de-Léon et bien entendu aux archives départementales... Elle a été très efficacement aidée par les généalogistes québécois, Clément Kerouac, l’un des 3.000 descendants. Egalement présents Hervé Quéméner, l’auteur du livre; Pierre Le Bris, libraire et éditeur brestois. Les échanges sur Jack Kerouac entre Hervé Quéméner, Pierre Le Bris et Youenn Gwernic, chanteur, sculpteur et écrivain habitant à Locmaria-Berrien ont été un régal.

Un départ mystérieux

Jean-François Pellen, notaire à Landivisiau, président du centre généalogique Bretagne-Pays de Loire a fait un long et minutieux exposé sur la langue bretonne. C’est à Patricia Dagier qu’il a appartenu de répondre, avec autant de précisions que cela est possible, aux nombreuses questions posées, par plusieurs descendants des Kerouac, qui étaient présents. L’une d’entre elles a retenu l’attention : pourquoi et dans quelles conditions le fils du notaire Urbain François Le Bihan avait quitté La Bretagne pour « la nouvelle France » (Canada) en 1721.Il avait été écrit à l’époque que ce fut à la suite d’une sombre affaire d’après boire à l’occasion d’une « noce ». Cela semble faux, il est simplement parti, comme des milliers de Français et plus particulièrement de Bretons, à la recherche d’un pays tout neuf, où ils ont fait souche pour créer la province du Québec. Cette journée a fortement marqué « Nos cousins. canadiens

bretagne-online

  site de la famille de Kerouac

Bibliographie

sur la route1957;

l'écrit de l' éternité d'or (1960);

docteur Sax (1959);

les clochards célestes;(1958);

les anges vagabonds(1960);Big sur (1962);

le vagabond solitaires(1960)

jack kerouac  au bout de la route ...la Bretagne ( Patricia Dagier Hervé Quemener An  here coop breiz))1999