Le Hüelgoat ville de garnison durant la Grande Guerre
Mon expo à la mairie pour le centenaire de la fin de la Grande Guerre J' ai eu aucuns remerciements pour mon exposition du conseil municipal et de son maire !
Le monument aux Bretons de la France libre en granite du Hüelgoat dite Croix de Pen-Hir en Camaret-sur-mer
Mon père faisait parti de la commission de l'Association des Français Libres pour ériger ce monument commémoratif aux Bretons de la France libre , il influença celle ci qu'il soit en granite de sa commune Le Huelgoat. au lieu de la Résistance en Bretagne La carrière Loirat après guerre où la taille des blocs de granit était encore au burin n'a pas eu l' honneur de
citer son nom dans les écritures sur ce monument .( le mépris des travailleurs manuels est encré dans la culture française.)
fouquat.pdf
Le frère de ma tante maternelle François Fouquat né au bourg de Poullaouen est compagnon de la Libération à titre posthume. ( Ma tante l' avait appris d' un journaliste ,45 ans après sa mort de son frère sous la torture des nazis que cette distinction nationale lui avait été décerné en 1945 , une faute administrative dans son nom Fauquat
et Fouquat.)
L' article de journal du Télégramme de 1991 Le soldat oublié
Edmond Magendie et Jean Bellec (tout à droite), lors de leur remise de
la croix de Libération par le général de Gaulle, à Nice, le 9 avril
1945. | © MUSÉE DE L’ORDRE DE LA LIBÉRATion
Le compagnon de la Libération Jean Chales Bellec Un Huelgoatain né à Paris ,sa famille et ses parents habitaient et étaient du Hüelgoat . Comme tous les fils des bourgeois du Huelgoat ,ils ne fréquentaient pas l'école publique ,ils partaient tous en pension chez les curés au Likès de Quimper.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/huelgoat-29690/ce-finisterien-fut-l-un-des-premiers-a-rejoindre-le-general-de-gaulle-apres-l-appel-du-18-juin-1940-072d5600-d83b-11ec-899f-1eab8c400158
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Bellec
Le général Jean-Charles Bellec, compagnon de la Libération, est décédé lundi à Grasse (Alpes-Maritimes), à l'âge de 82 ans .
Le général Jean-Charles Bellec, compagnon de la Libération, est décédé lundi à Grasse (Alpes-Maritimes), à l'âge de
82 ans . Etudiant à Quimper (29), Jean-Charles Bellec n'avait que 20 ans lorsqu'il a embarqué dans un bateau à
destination de la Grande-Bretagne, le 19 juin 1940, pour s'engager dans les Forces Françaises Libres.
Il a pris part à la campagne de Libye et aux combats de Bir-Hakeim en 1942, réussissant notamment à ramener intact un
important convoi de ravitaillement à travers les lignes ennemies. Blessé en sautant sur trois mines lors de ce fait d'armes,
il a néanmoins pris part, deux ans plus tard, à la campagne d'Italie puis à la campagne de France, dans le sud des Alpes, où
il a une nouvelle fois été blessé.
Après la guerre, il a poursuivi une carrière militaire qu'il a terminée avec le grade de général de
brigade. Croix de guerre 1939-45 (5 citations) et grand officier de la Légion d'honneur, Jean-Charles Bellec était également
grand-croix de l'ordre national du Mérite. Publié le 12 décembre 2002 à 00h00 le Télégramme
Concours National de la Résistance et de la Déportation - Dossier Fernand Jacq
Comme chaque année, le Concours permet
aux élèves de comprendre l'histoire de la Résistance et de la
Déportation afin qu'ils puissent en tirer des leçons civiques dans leur
vie d'aujourd'hui.Cette année scolaire 2019-2020, le thème se penche sur 1940 ENTRER EN RESISTANCE Comprendre, refuser, résister.Afin d'accompagner les élèves dans leurs travaux, le réseau CANOPÉ propose des ressources en ligne pour participer. Les Archives départementales du Finistère soutiennent cette démarche et proposent aussi un outil pédagogique numérique sur la Résistance en Finistère ainsi qu'une page dédiée au docteur Fernand Jacq, résistant fusillé par les Allemands au bord de l'étang de La Blisière en 1941.Bon concours à tous !
Le docteur Fernand Jacq, par ordre des instances françaises de Vichy est arrêté par les gendarmes du Hüelgoat comme otage communiste, il est transféré au Camp de Choisel de Châteaubriant où les prisonniers politiques sont internés et il est fusillé par les allemands le 15 décembre 1941.
C'est tabou d'en parler : le docteur Jacq a bien été dénoncé comme militant communiste par nos notables pétainistes de la mairie qui croyaient encore à la victoire allemande, il a été arrété chez lui par des français la gendarmerie locale. bras armé du pouvoir local. )
Le docteur Jacq, le médecin des pauvres
Fernand Jacq est né le 12 janvier 1908 à Granville, dans la Manche. Il fit ses études de médecine à Rennes où il adhéra au Parti communiste vers 1930. Jusqu'en 1933, il fut également responsable de l'Union fédérale des étudiants rennais.
Il s'installa comme docteur au Huelgoat en 1934- II devint rapidement « le médecin des pauvres », s'attirant la sympathie de beaucoup dans toute la Montagne par ses actions en faveur de l'hygiène, de la tempérance et de la prévention.
Il continua aussi de militer au PCF. Il était membre du Comité régional du parti. En 1935, il fut élu conseiller municipal du Huelgoat, C'était un chaud partisan du Front populaire. Il tint plusieurs réunions pour défendre le programme qui aboutit à la victoire de 1936. Lors des cantonales de 1937, il réussit un bon score au premier tour avant de se désister pour le socialiste Pierre Blanchard.
En septembre 1939, le docteur Jacq participa à la restructuration clandestine du PCF qui venait d'être interdit par le gouvernement Daladier à la suite du pacte germano-soviétique. Déchu de son mandat municipal, il se vit privé par la mairie des bons d'essence nécessaires pour exercer son métier ! (ce que dit Jean Marie du maire) Il parcourut alors à pied ou à vélo le
canton pour continuer à apporter les soins à ses malades. Il fut arrêté par les gendarmes du Huelgoat le 3 juillet 1941 puis conduit au camp d'internement de Châteaubriant.
Dans ce camp, il devint l'animateur d'une chorale bretonne qui entonna le Bro Goz, en même temps que La Marseillaise et L Internationale le 22 octobre 1941 lorsque 27 internés (parmi lesquels Pierre Guéguin et Guy Môquet) furent conduits au poteau d'exécution.
Le docteur Jacq, Le 15 décembre de la même année, le docteur Jacq, avec huit autres militants, fut lui aussi fusillé dans le bois de la Blisièrc, non loin de Chateaubriant, Dans sa dernière lettre à son épouse, Fernand )acq écrivait : « La mort naturelle libère l'humanité de ses fragments use's ; la mort violente donne par réaction une énergie nouvelle à cette humanité. Toute ma vie, j'ai lutté contre la guerre et pour une
vie meilleure, pour le progrès. Les morts sont de grands convertisseurs. Ma mort sera utile. »
Huelgoat et les Monts d'Arrée, les rebelles de la montagne" (avec Eliane
Faucon-Dumont), Éditions Alan Sutton, 2008 Georges Cadiou il ne site jamais ses sources dans son livre .Un copier-coller du
livre : Résistance et conscience bretonne" de Jean-Jacques Monnier 2007
http://www.le-chiffon-rouge-morlaix.fr/2018/12/fernand-jacq-medecin-et-maire-au-huelgoat-militant-communiste-et-resistant-fusille-a-chateaubriant-le-15-decembre-1941-archives-depa?fbclid=IwAR0YdJ-yUTTA-uRe2u3qitMfFh35BExR3yHakyOiVSeHTq_iYNxoX7ZQCVQ
http://www.archives-finistere.fr/concours-national-de-la-r%C3%A9sistance-et-de-la-d%C3%A9portation-dossier-fernand-jacq
|
Léon Le Janne, alias Commandant Noël dans la Résistance,
En inversant les lettres de son prénom, Léon Le Janne est devenu le commandant Noël. Né le 5 mars 1894 au Huelgoat, ceCarhaisien d'adoption s'illustra au cours de la Première Guerre mondiale avant de devenir un résistant actif lors du conflit
de 39-45.
Après une scolarité effectuée au collège Saint-Charles, à Saint-Brieuc, le jeune Carhaisien d'adoption s'exile à
Bordeaux, afin d'y poursuivre des études de médecine.
Il fut combattant volontaire de celle qu'on a nommé la «Grande Guerre» où, après avoir été simple fantassin, il se retrouva
en première ligne comme médecin-auxiliaire. Il en sort indemne et se voit décoré de la Croix de guerre, de la Médaille
militaire et de la Légion d'honneur.
Chirurgien-chefA son retour, il reprend ses études, avant de s'installer, en 1921, comme médecin généraliste à Morlaix.
Il y dirigea l'hôpital, créa la clinique Saint-Michel, s'occupa du Stade morlaisien... avant que la Seconde Guerre mondiale
n'éclate.
De nouveau mobilisé, le docteur Léon Le Janne, alias commandant Noël, est nommé chirurgien-chef de l'hôpital de
Saint-Gildas-des-Bois (44). Il y commence ses actions de résistance en sauvant des soldats polonais qui cherchent à gagner
l'Angleterre, via les terres bretonnes.
Des blessés «décédés»
Sur les registres médicaux régulièrement surveillés par l'ennemi, il porta même la mention «décédé»
face à des noms de blessés qu'il put ainsi renvoyer dans leur foyer en toute impunité.
Fervent partisan du général de Gaulle, il revient à Morlaix en 1941 et tente de prendre contact avec la résistance.
Après plusieurs essais infructueux, il obtient enfin l'adresse d'un responsable de réseau qui n'est en fait que celle de...
son beau-frère. Etonné et stupéfait, le commandant Noël s'y rend et doit accepter l'évidence : son correspondant est bel et
bien Adolphe Vallée, son propre beau-frère, alias, lui, le commandant Richard.
De là, ils contacteront Mathieu Donnard (dit Colonel Poussin), et dès lors la résistance peut commencer à s'organiser du côté
de Morlaix.
«Il fait chaud à Suez»
Le commandant Noël devient très vite un ennemi à abattre pour les Allemands, qui ne purent jamais
l'arrêter. Changeant très fréquemment de gîte sur un territoire allant de Morlaix à Carhaix, l'homme s'avéra en effet être
insaisissable.
Réfugié dans la ferme de la famille Jacq, à Sainte-Sève, il capta les trois messages de la BBC annonçant l'imminence du
débarquement : «Il fait chaud à Suez», «Les dés sont sur le tapis», «Le camion est en panne». On était le 5 juin 1944;
la suite est connue.
Après la Libération, le commandant Noël redevint le docteur Léon Le Janne. Il arrêta son activité professionnelle à 76 ans et
mourut à Morlaix quatre années plus tard. Pour en savoir davantage, consulter l'ouvrage Histoire de rues, Carhaix, aux éditions Keltia Graphic.
https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20050510&article=9951968&type=ar
Un héros du Huelgoat ,un martyr oublié de la Résistance Yves David le 27-11-1943 à Rennes)
La table où le détenu était allongé, nu, et battu, parfois pendant des heures, du fouet et du nerf de bœuf. L'ingéniosité de ces criminels était inépuisable et leur cruauté sans merci. Les hommes et les femmes dont ils prenaient la charge étaient méconnaissables dés le second jour. « Parfois, frapper ne leur suffisait pas. Ils écrasaient le ventre de leurs victimes, comme ils le firent pour le responsable départemental Bernard, de
son nom David, mort dans les tortures
La commune avait oublié son nom sur notre monument aux morts malgré qu il eut les grands honneurs de la République lors dans de son inhumation au Huelgoat en 1945 Suzanne sa femme une rescapée des camps de morts fut scandalisée de ce fait.
Suzanne Le Coze-David 23 janvier 2003 A l'orée de ses 86 ans qu'elle aurait eu à la fin du mois de février, Suzanne s'en est allée discrètement, après un paisible séjour à la maison de retraite de Mont-Le Roux. Suzanne, comme elle s'est appelée toute sa vie, même si les hasards de l'état civil l'avait prénommée Louise,
nous a quittés en ce mois de janvier. Suzanne était née en 1917. La guerre 1914-1918, où la plupart des familles françaises furent éprouvées, entrait dans sa phase décisive. Elle avait 22 ans en 1939 lorsque la Seconde Guerre mondiale se déclara, et trois très jeunes enfants. Elle s'engagea dans la Résistance aux côtés de son premier mari, Yves David ( capitaine Bernard) ,dénoncé par une lettre anonyme, qui mourut sous la torture en fin novembre 1943 à Rennes par des policiers français du service parallèle de la police anticommuniste (SPAC ) . Arrêtée en même temps que son mari chez sa mère rue Saint Yves au Huelgoat elle n' avait pas été arrétèe par la Gestapo mais par des français de la gendarmerie du Huelgoat et livrée à la police anticommuniste (SPAC) , elle séjourna dans l' enfer de la prison Jacques Cartier des femmes de Rennes jusqu' à la libèration . Atteinte de tuberculose, elle ne dut qu'à la maladie d'échapper à la déportation. Suzanne, en apparence frêle, mais douée d'une grande force de caractère, reprit le dessus. Elle épousa Joseph Le Coze qui avait lui aussi
pris part à la Résistance bretonne FTP et auprès duquel elle vécut une vie pleine et entière durant 47 ans, dépassant les séquelles des années douloureuses. Après avoir assumé les responsabilités familiales, le couple cumulant sept enfants au sortir de la guerre, Suzanne s'est largement investie dans les activités sociales de sa ville, notamment auprès du club du troisième âge dont elle assuma la présidence durant 11 ans, se dépensant sans compter au service des autres. Chacun gardera d'elle le souvenir d'une
personne à la fois chaleureuse, généreuse, rigoureuse, juste et volontaire.© Le Télégramme + mes rectifications
La seule femme du premier comité départemental de la Résistancede la Libération du Finistère du 17 août 1944 était notre Suzanne :
L'une des grandes résistantes françaises, elle n' a jamais demandé de reconnaissances et de médailles! Elle aurait du être dans l' ordre des compagnons de la Libération et l'ordre de la médaille de la Résistance mais elle était une femme issue du petit peuple des campagnes! .
Qui s’avait cela au Huelgoat ?.. Maintenant, je sais où ils se sont rencontrés au comité départemental de la Résistance de la Libération à Quimper! L’un des vice –présidents était Jop Le Coz
https://maitron.fr/spip.php?article107774
LE COZ Joseph, Mathurin
Un Franc- Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic
Un Franc- Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic que je viens de scanner qu'il nous a offert écrit par ce grand personnage né en 1924. Un témoignage d' un huelgoatain de ce Grand Croix de la Légion d’honneur, médaillé de la Résistance, titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 et de la Croix de
guerre des TOE avec 12 citations.
Publié le 03 mars 2005 © Le Télégramme http://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20050303&article=9571109&type=ar#ZMSLXQVeyXKrdtk2.99
Dimanche, s'est éteinte une grande dame de la Résistance,
Odette Clédic, âgée de 79 ans. Déjà titulaire de la médaille militaire, de la
croix de guerre et de la croix du combattant volontaire de la Résistance,
Odette Clédic avait reçu, au mois de mai, 2004 la croix d'officier de la Légion
d'honneur pour son courage exemplaire dans les rangs de la Résistance,
reconnaissance de la Nation qui lui fut remise à Huelgoat, par Marcel Clédic,
son frère, lui-même grand officier de la Légion d'honneur. Agent de liaison d'un groupe de résistants Née à Paris, le 6 juin 1925, elle perd son père en 1926 et retourne avec sa
mère et son frère à La Feuillée. Connaissant les activités, en octobre 1942, de
son frère et suivant son exemple, elle s'engage, à l'âge de 16 ans, dans la
Résistance en tant qu'agent de liaison d'un groupe de résistants FTP
(Francs-tireurs et partisans), de Trédudon, à Berrien. Son premier responsable
s'appellera Pierre Grall. Remarquée pour son courage et son efficacité, elle
sera recrutée par le Réseau national des francs-tireurs et deviendra agent de
liaison régional. Basée ensuite à Paris, elle transportera des plis et parfois
même des armes, assurant des liaisons depuis Paris sur toute la région Ouest,
du Havre jusqu'à Bordeaux et transmettant des documents sur Le Mans, Angoulême,
Ruffec et la région de Morlaix et Trédudon. Son nom de code était Josette.
C'est au cours d'une mission à Angoulême qu'elle sera arrêtée le 25 janvier
1944. Elle ne quittera la prison du Mans, où elle était incarcérée, que pour
être remise à la Gestapo. Déportée au camp de Ravensbrück sous le matricule
38.811, elle sera affectée au Kommando chargé de travaux pénibles avec,
dira-t-elle, «une maigre soupe aux orties et un quignon de pain rassis ». Grâce
au soutien d'un réseau FTP à l'intérieur du camp, grâce aussi à son âge et à
ses compétences, elle finira par travailler à l'atelier couture. Ce qui la
sauvera.
Près de 500 km à pied
Fin avril 1945, au cours d'une terrible marche de la mort, elle parcourra avec
ses compagnons d'infortune près de 500 km à pied sous les ordres des SS, dans les
tempêtes de neige, pataugeant dans la boue, dans des conditions très
éprouvantes. Libérée le 8 mai 1945 par les Américains, elle rentrera le 20 mai
à La Feuillée, dans des conditions très difficiles Elle ne pèse plus alors que 37 kg. Odette gardera toute
sa vie les séquelles de son voyage en enfer. Un voyage qui s'est achevé,
dimanche, à La Feuillée. Ce soir-là, la Résistance bretonne était endeuillée.
Etape de la campagne de France de la caravane allemande vers la port militaire de Brest sur la Place du Huelgoat le 19 juin 1940 !
J' oublis toujours dire que le premier acte de Résistance des Monts d'Arrée aux allemands est celui perpétré par ma famille au bourg de Plouyé!
. Il est identique à celui fait par des fils de notables à Paris, le 11 novembre 1940 qui eux ont en fait le premier en France . Les notables et les rouges staliniens locaux ,ceux qui avaient l' écrit de l' après guerre ? la famille Le Borgne, ils nous ont occulté ,un de la 2DB,les deux autres du Maquis du Limousin ,trop c'est trop , des paysans blancs du bourg de Plouyé ,des ploucs , des koulak ou des chouans et en plus issus de la curaille de l' abbé Perrot , c'est pourquoi ils n'ont rien écrit dans leurs livres sur la Résistance locale de ce premier fait légendaire d' opposition symbolique aux allemands .
Dès l' arrivée des premiers allemands au bourg de Plouyé , mon parrain Joseph avec l' aide de mon père et mon oncle Roger en 1940 ( en 1941 toute ma famille Le Borgne était réfugiée dans la région de Marmande) ,avait hissé le drapeau français au sommet du clocher de l' église au nez des allemands quand ils avaient vu le drapeau , ils l' avaient tout de suite enlevé,
le lendemain le drapeau français était toujours là ! Une légende locale qu' on raconte toujours aujourd'hui à Plouyé et dans la région. Dans ma famille des conneries de jeunes, Guillaume le gas de Plouyé était au Berghof en 1945, là il a fait vraiment la nique aux allemands qui nous
occupaient.
Il n' y a pas que les Rouges dans nos Monts d' Arrée qui ont fait des actes de Résistance . A l' Hospice Mont- Le Roux tenu alors par les religieuses :Des juifs y étaient cachés des forces d' occupation et de ses acolytes locaux de Vichy de la mairie et de la gendarmerie .Ce fait a été occulté au Huelgoat , il vient de sortir de l' oubli , les langues se délient 70 ans après!
Témoignage de l’oncle de Yves Mevel éleveur au Crann .
Yves vient de me raconter ce témoignage durant la dernière guerre qui
est peu glorieux pour nous du Huelgoat Une famille de juifs réfugiée avait étét raflée au Huelgoat .
« » J’avais dix ans j étais à l’
école pendant la guerre au Huelgoat Il y avait une famille de
réfugiés, des juifs et leurs enfants qui logeaient sur la Place. D’un
jour à l’autre cette famille avait disparu de leur logement sur la
Place . Elle avait été raflée par la
gendarmerie locale pour être déportée dans les camps de concentration .
Aucuns des adultes du bourg du Huelgoat n’en furent offusqués et
aucuns en parlèrent en réprobation après cette disparition soudaine de
cette famille de juifs » ».
Je ne comprends pas que tous du Huelgoat après guerre se sont tus.Ils
ont occulté de leur mémoire cette famille de juifs ,ce n’est pas
glorieux cette déportation de cette famille de juifs réfugiée au Huelgoat vers la mort
dans des chambres à gaz , quand tous ceux du Huelgoat après
l'occupation .se disaient des vrais résistants.
Cette famille de
juifs a bien été dénoncée,non pas par un du pays mais par notre
administration locale pétainiste et ses agents qui avaient viré leur veste pour
que tous du Huelgoat se taisent ils " Ils suivaient les directives de
l' État français ?
La 3. Fallschirmjäger-Division (3edivision parachutiste) est une des divisions de parachutistes (Fallschirmjäger) de l'armée allemande (Wehrmacht) dans la Luftwaffe.
Mon fichier PDF : La Constitution au Huelgoat.de la 3 FalIschîrmjager-Dîvisîon : (par Le generalleutnant c'est Richard Schimf en réponse aux questions de I’US army)
Il ne faut pas la confondre avec la 2. Fallschirmjäger-Division de Ramcke le Nazi , celle qui a participé à de nombreuses excations sur des civils en Bretagne de juin à septembre 1944. Le 26 octobre 1952 , Ramcke a bien dit à un groupe d’anciens soldats SS qu’ils devraient être fiers d’être mis à l’index
tout en soulignant qu’à l’avenir leur liste noire serait plutôt considéré comme un « tableau d’honneur ».
C'est tabou de publier ces clichés de la Place prises le 7 juin 1944. Comment je le sais? Parce qu' on sait qu'il faisait beau ce jour là, dès les premiers jours de juin le temps était mauvais et à la tempête en Bretagne comme en Normandie ,il y a de nombreuses flaques d' eau sur la Place et c'est bien des ombres courtes du soleil de Juin sur le sol des diables verts
et de ces jeunes recrus venant de finir leurs entraînements de parachutisme dans les Monts d'Arree ) Ils partaient tous ce jour là sur le front de Normandie dans le secteur de Saint -Lô vers leur destin l ' Enfer des haies !
La 3 fallschirjager-division de parachutistes, leur PC général du 28 janvier 1944 au 8 juin était au Huelgoat , Tout un symbole: la deuxième photo c' est devant la boucherie du vieux Guy Thepault, le Feldwebel du premier rang porte les bandes de bras "AFRIKA"
et "KRETA". (mon père l' avait peut être combattu en Tunisie? )!
Le generalleutnant c'est Richard Schimf . c'est ce général qui avait pour devise "un parachutiste meurt dans son trou" et qui livra aux américains sans combattre le 8 mars 1945. la première grande ville allemande Bad Godesberg avec ses nombreux hôpitaux ,aujourd'hui dans le district de Bonn , l' ancienne capitale de la RFA,
Cette période de 5 mois de l' occupation allemande dans nos Monts d' Arrée a été occultée ." Aucune répression sur la population malgré que trois allemands fut tués sur le secteur du Huelgoat ? ils avaient trouvé tout de suite et par hazard les auteurs de ces attentats , des équipes des villes.
Celà est du à leur chef Le generalleutnant Richard Schimf " je pense vu à du
parcours militaire sans taches aucunes exactions sur des civils Richard Schimf avant et après le débarquement ,S’ il avait été un vrai
nazi, il y aurait eu des dizaines de déportations sans
retour sur les Monts d'Arrée pour complicité comme sur le front de l'Est . Il ne pouvait avoir aucun acte véritable de Résistance armée et de parachutages dans cette forteresse allemande des Monts d'Arrez tenue par ces parachutistes aguerris. Dès leurs départs pour la Normandie , le premier acte de gloire de la Résistance locale fut tondre trois filles de Plouyé qui avait trop fréquenté ces
beaux allemands (2) .Il doit avoir de nombreuses archives allemandes de réquisitions cachées dans nos mairies et les archives de la gendarmerie qui sentent le soufre et la collaboration active ?
Le matin du 3 février 1944
Auprès du village de Trédudon, une ferme abandonnée, avec une maison encore habitable, Guenidou, servira de refuge à une équipe de Brestois, commandée par un nommé Boucher. (1) C'est lui qui héritera du PM. récupéré à La Feuillée et c'est là que va se dérouler un épisode longtemps ignoré et tenu secret Une unité de l'armée allemande, installée au bourg de Berrien devant effectuer des tirs
au canon dans les Monts d'Arrée au dessus de Berrien et La Feuillée, un officier allemand et son ordonnance, tous deux à cheval, ont pour mission d'informer la population de ces tirs et d'éviter d'accéder à leurs garennes pendant quelques jours
Ayant visité le bourg de La Feuillée et plusieurs villages, les deux cavaliers reviennent par la D 42 entre La Feuillée et Berrien. Passé le village de Quinoualach, ils aperçoivent au loin, vers la montagne une ferme qu'ils n'ont pas prévenue. Faisant demi-tour, ils arrivent donc à cette maison et l'officier descendant de cheval entre dans le local au rez-de-chaussée.
Entendant du bruit à l'étage, il grimpe à l'échelle de meunier pour se retrouver avec un pistolet sur la tempe, par un de nos camarades appelé Boucher (1). L'officier est tué, et son ordonnance, qui sautait sur son cheval, est également descendue au P.M.
Boucher (1) prévient rapidement Pierre Plassart à Trédudon, lequel vient sur place, accompagné de son groupe F.T.P. Il décide d'écarter les chevaux, avec les deux corps sur la selle.
Dans un coin de landes bien boueux, il décide de creuser et d'enterrer d'abord les militaires, puis les chevaux sont abattus un peu plus loin.
S'en suit un important travail de camouflage pour dissimuler le coin, et même un troupeau de vaches est emmené sur le secteur pour piétiner le terrain.
Le lendemain les troupes allemandes de Berrien et de La Feuillée battent la campagne pour rechercher leurs hommes. Mais la montagne est vaste et les renseignements impossibles à obtenir. Ils sembleraient avoir su que les deux cavaliers étaient passés à Quinoualac'h, en direction de Berrien, mais rien de plus. Toujours est-il qu'au bout d'une huitaine de jour les recherches ont cessé et
aucunes représailles aucune mesure de rétorsion n'a été exercée en raison des incertitudes de leur passage.
(1) .Le 4 Février, Trois résistants FTFP, du groupe Giloux : Marcel
Boucher, Guy Raoul, André Garrec sont abattus sur la route
de Brest sur le tronçon de la vielle
route romaine à Pont Mesgall en La
Forest-Landerneau, après avoir ouvert le feu sur une patrouille qui tentait de
les arrêter. Ils venaient d’exécuter un colonel et son ordonnance à Roc-Tredudon
Le Moine. Dans leurs valises, les Allemands trouveront les épaulettes, la croix
de Fer du colonel et la mitraillette de l’ordonnance.
Un Franc- Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic
(un huelgoatain: Grand Croix de la Légion d’honneur, médaillé de la Résistance, titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 et de la Croix de guerre des TOE avec 12 citations
|
la Place au Hüelgoat le 7 juin 1944. La 3 fallschirjager-division de parachutistes, Les Fallschirmjäger ces futurs héros allemands de la Bataille des haies!
Le generalleutnant Richard Schimf
Les soldats en noir de la Ils portaient des Sonderbekleidung der Deutschen Panzertruppen (vêtements spéciaux des chars allemands) avec des insignes de la Luftwaffe. Certains des soldats de première ligne portent le Patronentasche zum MP38 / 40 (pochette pour chargeur MP38 / 40), le fusil Kar98k et le Maschinengewehr MG 34.
Bonjour,
concernant les soldats en uniforme noir, il ne s'agit pas de personnels de la division "Hermann Goering" (qui n'était pas en Bretagne à cette époque), mais plus probablement d'un détachement de soldats du "Sturmgeschutz Abteilung 2", (renommé plus tard "Fallschirm Sturmgeschutz Brigade 12") dont le PC était à Mur de Bretagne, et qui, comme la 3°FJD , dépendait du II Fallschirm Korps dont le PC était a Quintin
La 3 fallschirjager-division de parachutistes, leur PC général était à l' Hotel d'Angleterre.
Toutes les maisons de maitres comme celle du chateau du Turc étaient occupées .
Heureux comme Dieu en France!
Face à l' armada mécanisée américaine qui arrivaient , les allemands avec leurs chevaux traversent la Place !Que pouvaient ils faire sans essence et des chevaux ?
.La bataille et les exactions nazi du Huelgoat du 5 août 1944
Les américains du général Grow de la 6e division blindée US face aux nazis de Hermann-Bernhard Ramcke
Le général Grow (au centre) au carrefour au Hüelgoat à bord d'une automitrailleuse M20 entouré des GI's chargés de sa protection rapprochée (collection mairie d' Hüelgoat) ( L'enfer de Brest édition Heimbal)
Rue de la Gare
Carrefour du four
Rue neuve
Le défilé des forces des FFI créés lors de notre Libération du Huelgoat et de nos Monts d'Arrée , lors de la dissolution du bataillon Bir-Hackeim en fin septembre.1944 commandé par Paul Marzin . Photo prise au bord du lac du défilé après le dépôt des gerbes au monument aux morts de la chapelle. Merci Claude Royan pour ta photo.
Le même rassemblement des forces FFI en fin septembre 1944 sur la Place .
Au Hüelgoat, des jeunes des maquis furent torturés puis fusillés par les parachutistes de Ramcke le 4 juillet 1944.
La stele des fusillés de l'Allée Violette
.
Le 3 juillet 1944, au village de Ty-Ar-Choen, en Plouyé, les allemands arrêtent Pierre-Louis Ruelen, le frère de Germaine Moal qui a tenu le café de la Croix et la Crêperie Krampouez Breizh, ouvrier granitier de 21 ans, du Huelgoat. Il sera fusillé le lendemain ainsi que J. Volant et Eugène Berthou. On ne retrouvera leurs corps qu’en avril 1946, dans l’allée violette
qui longe la rivière d’argent dans la forêt du Huelgoat. Source : Georges-Michel Thomas & Alain Le Grand, Le Finistère dans la Guerre. Tome 2 : La Libération, Presses de la Cité, 1981"
Le 3 juillet, à Ty ar Hoën en Plouyé, le groupe de Pierre Ruellen est surpris au matin dans la ferme. François Goacolo réussit à s'échapper, mais Robert Boucher est tué sur place. Pierre Ruellen, Jean Volant et Emile Berthou seront arrêtés et transféré: à Huelgoat.Torturés, ils seront fusillés le 4 juillet et leurs corps enterrés dans la forêt d'Huelgoat non loin de l'Allée aux violettes, où les corps seront retrouvés plus tard en 1945.
Une stèle, élevée par les camarades carriers de Pierre Ruelleu, leur rend hommage.
Un Franc- Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic
Cette contre-attaque commando allemande, le samedi 5 août 1944 sur Huelgoat fut une victoire pour les allemands?
Par la percée d'Avranches, il y a eu rupture du front le 30 juillet, la libération de cette dernière ville ouvre la route de la Bretagne et de l’ouest de la France aux blindés du général Patton. La Bretagne, à l'exception des principaux ports, est libérée en quelques jours seulement .
Le 5 août 1944, depuis Avranches, dans
sa route sans réels combats vers le port de Brest, (les forces allemandes
désorganisées) espérant être à la porte du port dans la soirée .Le général Patton est persuadé qu'une semaine lui
suffira pour faire tomber Brest. la 6e division blindée US du général GROW ,
ayant contourner Carhaix (les FFI donnèrent une fausse information aux
américains, il y aurait deux milles parachutistes allemands à Carhaix, les allemands étaient partis, elle est
libérée sans combats que le 7 août 1944 par les maquisards .
A l' approche du Huelgoat, les alliés venant en deux groupes , l' un de Plouyé par Gourin et l'
autre de Poullaouen par Merdrignac se trouvent confronter à la détermination de 500 des
4000 paras allemands du nazi Ramcke ,troupes commandos d'élite sous les ordres du
oberfeldwebel Adolf Reininghaus qui gagne la croix de chevalier de la croix de
fer à cette occasion .Ils se cachaient de la population locale et des
troupes paras allemandes stationnées autour du Huelgoat, dans les landes et
les taillis des vallées profondes du Huelgoat longeant la Nationale 164 attendant
les forces alliées.
Où sont les éclaireurs de la résistance huelgoataine. Ils n'y en avaient pas de FTP locaux pour guider les américains, ce que n' a toujours dit mon père qui avait aussi participé à ces types d'opérations militaires; l' équipage de son char savait toujours où étaient les snipers et les positions allemandes que leurs indiquaient les résistants
locaux .Les américains ne pouvaient qu' être pris au piège des allemands sur la Nationale 164 longeant la longue vallée du Huelgoat escarpée propice à la guerrilla .Les armes antichars allemandes neutralisent plusieurs blindés américains dans et autour du Huelgoat comme au Pont Mikael (une mine ou plutôt des
snipers comme au pont du canal de la mine et leurs Panzerfaust? ) un sur la Nationale 164 en Locmaria Berrien ( Deux chars américains furent détruits d' après ma voisine avec leurs Panzerfaust et il y a eu deux morts de soldats US (Santo De Nunziato, et Fred K. Blaylock,) dans cet affrontement, en face de ma maison, sur la Nationale 164 au pont du canal de la mine ,les impacts des balles américaines dans les murs de la propriété de ma
voisine Marie Helene sont toujours visibles) . Le sergent John Seidenburg commandant de char fut tué par un sniper sur son char ( je ne sais pas où?) .Charles BAIR fut tué par un sniper au Petit moulin et son cadavre fut retrouvé par une huelgoataine devant sa porte d' après Jean Marie Le
Scraigne
Au pont du canal en face de ma maison.
Les troupes allemandes stationnées au Huelgoat dès l' arrivée des américains décampent aussitôt et sont neutralisés, mais les Commandos allemands venus de Brest pour retarder la progression des américains vers Brest qui se camouflaient dans les bois, rentrent en opérations
de combats. Ceux sont eux les seuls protagonistes des attaques contre les américains de la 6th Amored division et ceux sont eux qui annihilent une attaque surprise sur le port de Brest. Les paras allemands finissent par céder? Non, dans ce court de temps, l' objectif de leur chef ,le général nazi Ramcke était atteint ? il avait réussi à enrayer la
progression rapide des alliés en Bretagne et de ce fait transformer la ville de Brest en forteresse grace aux armements lourds pris dans l' arsenal de la Marine Nationale, il a eu ainsi assez le temps de les disposer en batteries contre les futurs positions et attaques américaines Le 7 août 1944, les troupes américaines arrivent enfin à la porte de Brest où
les parachutistes d' élite allemands les attendaient, prêt en découdre jusqu'à la mort. mais la ville de Brest fut libérée après 43 jours de siège et de carnages, le 19 septembre 1944) Pendant le siège, la ville reçut 30 000 bombes et 100 000 obus ; environ 6 000 militaires alliés ou allemands y laissèrent leur vie. Ramcke fut responsable de l'évacuation de plus de 40 000
brestois, et des 373 civils morts dans l' Explosion de l'abri Sadi-Carnot le 9 septembre 1944.
D' après Jean Marie Le Scraigne qui n' était pas témoin de cette journée de combats du samedi 5 août 1944 au Huelgoat ( cette journée dans son livre, il a vu aucun allemand sachant que tonnait le canon au Huelgoat et il ne témoigne pas dans son livre d' avoir vu le défilé de l' armada
américaine qui venait de Gourin pour rejoindre Huelgoat ,celui ci traversait le bourg de Plouyé toute l'après-midi où il y passa aussi l'après-midi à occuper en temps ' "Armée Rouge" le terrain ou plutôt s' attribuer de la libération de Plouyé, pays des curés par les communistes ?) .Il y aurait eu aussi dans son livre des combats au carrefour de la route de Brest et de kervinaouet .Après
d' intenses combats jusqu' au dimanche du pardon des Cieux, certaines maisons du bourg avaient des impacts d' obus, des pans étaient par terre , des toitures portaient des traces d' incendie.
Les pertes et les blessés de chaque cotés au Huelgoat sont importantes . Georges Le Scraigne, le frère de Jean Marie celui ci retrouva mort le corps de son frère caché dans un tas de foin une balle dans l' oreille tiré à bout portant le mercredi 9 août au village de kervinaouet
et Auguste Quémener le père de Pierre ,il fut tué lors des combats entre les américains et les allemands derrière l' église . ). , Gaston Amédée Doyat, François Gall et Joseph Charles Jourdain ont également trouvé la mort dans leur voiture, en sautant sur une mine dissimulée sous un tas de crottin de cheval au milieu de la route par les troupes d'occupation ou je pense plutôt à un autre groupe de résistants, vu cette technique improvisée que
tous les chauffeurs de véhicule en temps de guerre dans leur formation militaire apprennent que tout objet sur une route est une bombe potentielle et cette technique de mort de pose de mine goupillée est celle d'un indigène , on ne marche pas dans la merde ! Ce piège était sur cette portion de route dans la cote de la D114 entre Saint Amboise et Ty ar Gall. Les troupes américaines venant de Poullaouen, après l' accrochage meurtrier du Pont Mikael sur la Nationale 164 où quatre
Américains furent tués adoptèrent la route de le voie romaine de la mine, ils passèrent au village de Saint Amboise où certains d'eux se sont arrêtés boire un coup verre de lambig et de vin chez les habitants et ils n'avaient pas à prendre cette portion de route minée pour rejoindre Huelgoat et Brest .
Médaille décernée à mon père vétéran de la 2DB ce jour là par ce colonel US .Tous les deux étaient des vétérans de la troisième armée des États-Unis (Third United States Army) sous le commandement du général George Patton
http://6th-armored-division-honor-roll.webnode.nl/story/liberation-huelgoat/
https://en.wikipedia.org/wiki/6th_Armored_Division_(United_States)
66 ans après. Un colonel américain en pèlerinage
En 1944, Huelgoat est libéré les 5 et 6 août 1944 par les troupes américaines,
aidées d'une vingtaine de résistants locaux. Les combats entraînent la mort de
soldats américains, d'un résistant et d'une bonne dizaine de soldats allemands.
De plus, quatre nazis ont abattu, par balles, douze Huelgoatains. (L'ouvrier italien des carrières abattu dans cette rue, on ne le comptabilise toujours pas aujourd'hui? )Le colonel
américain Cyrus Shockey qui était alors capitaine a participé à ces événements.
66 ans plus tard, il revient à Huelgoat «le seul endroit qu'il a voulu
revisiter».
Le 4 août 1944 : entrée à Huelgoat
Il a été
hébergé, vendredi soir, avec son épouse et ses deux enfants, dans les chambres
d'hôtes de la famille O Brien, avant de suivre la cérémonie organisée samedi
matin au monument aux morts, par la municipalité et les associations d'anciens
combattants. Aujourd'hui âgé de 94 ans, le colonel, qui réside à Shanee dans le
Kansas, n'a pas oublié les circonstances de son arrivée à Huelgoat. Professeur
mobilisé en 1941, il débarque, avec la 6e Division blindée dans laquelle il est
incorporé, à Utah beach en juillet 1944. La mission est de reprendre Brest. Sur
son chemin de Merdrignac à Huelgoat, il rencontrera un FFI qui l'a beaucoup aidé
par sa connaissance du terrain. Ce dernier, d'ailleurs, montera dans un deux
chars de reconnaissance qu'il commande. C'est le 4 août à midi qu'il fera une
première incursion avec ses deux chars à Huelgoat, ayant pris de l'avance sur le
reste de la division, avant de rejoindre son unité, commandée par le Général
Crow qui entrera quant à elle à Huelgoat, le 5 août.
Le rêve réalisé
Ce pèlerinage de 24 heures dans une «très belle cité» qui lui avait
fait grande impression, Cyrus Schockey l'avait en tête durant toutes ces
dernières années. Il a eu des occasions de revenir en Europe durant sa carrière
militaire jusqu'à sa retraite en 1970, mais pas en Bretagne. Il a ainsi réalisé
son rêve et a été enchanté de l'accueil qui lui a été réservé
Que d' erreurs historiques de la correspondante du journal local. D' après mes sources des témoignages comme ceux de ma voisine qui avait douze ans en 1944 confirmés par lui dans le site de la 6 division US les premiers chars arrivent route de la gare en debut de l'après-midi du
5 août suivi aussitôt de la fuite dans les bois des résidents allemands de l' hotel d' Angleterre, deux heures plus tard deux chars US sont détruits par des snipers et leurs Panzerfaust , route de la gare au pont du canal de la mine. vers les 19 heures les massacres de la rue des Cendres . Les FFI qui guidaient les alliés américains n'étaient pas connus des huelgoatains. Le seul tir de la résistance locale recensé par les américains blessa un des leurs à l 'épaule. Le dimanche matin du 6 août , la procession du pardon se déroula au son des cannons.
http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/chateaulin-carhaix/huelgoat/huelgoat/66-ans-apres-un-colonel-americain-en-pelerinage-02-05-2010-895272.php
Texte du Cyrus Schockey
Le colonel américain qui est venu au Huelgoat le 2 mai 2010
General Grow was not afraid to take chances and expose himself to danger. On 5 August 1944 in the dash to Brest, the General augmented his jeep
and halftrack with two tanks borrowed from Combat B which was moving toward
Brest on the northern route. The addition of these two tanks gave a measure of
security as the General moved from the northern route to join CCA on the
southern route. This decision meant traversing some 15
miles of enemy territory knowing the possibility of running into enemy
contingents who would be retreating to Brest.
Upon arriving at the lead elements of CCA, he felt the column was
moving too cautiously and decided to
lead with his own four vehicles in advance of CCA to Huelgoat. The two medium
talks arrived at Huelgoat around 1130 (heure anglaise) on 5 August. As the two tanks maneuvered
through the obstacles leading to the center of the town, a towed artillery unit
of three guns and approximately 40 enemy hastily departed out of the town
heading west. A reconnaissance of the NE route into the town by the two tanks
revealed a bicycle Infantry unit of approximately 50 enemy. Upon seeing the
tanks, they hastily abandoned the bicycles and fled to the woods. General Grow
was aware that there were enemy surrounding the town and very likely within the
town; nevertheless, he remained in the town until late afternoon when
he
departed and joined CCA. During this time, the enemy initiated no
contact. The General's concern for his own safety was based on his belief that
the enemy was more concerned with retreating safely than getting involved in a
fight. The only casualty was a shoulder wound received by the FFI
guide
in our party. I believe the shot came from a Frenchman, not a German. The
FFI guide
was standing in the middle of the street and for some reason started
celebrating by shooting his weapon in all directions, thereby causing some
danger to the inhabitants who had remained indoors.
http://www.super6th.org/personal/schockey.htm
When the head of the column reached Huelgoat, Lt. Col.McCorrison was ordered by the Division Commander to clear the town, and two platoons of Company "A" were ordered to support one company of the 44th in accomplishing this mission. This force closed on the enemy in two directions and drove them into the northern end of the town. At this point, resistance grew very stiff,
and the task force came to grips with the enemy at close quarters, One tank was hit by Panzerfaust fire at a very close range, and was set on fire, However, the tank crew remained inside and continued to machine gun the krauts until the heat became unbearable; crawling out of the vehicle they found themselves surrounded by Wehrmacht troops who called to them to surrender. Unanimously they refused, and immediately opened fire on the group in the face of overwhelming odds, and almost certain death. Technician 5th
Grade, Santo De Nunziato, Fred K. Blaylock, were cut down by machine gun fire. Nunziato was immediately killed and Blaylock died of wounds later in the hospital. Technician 4th Grade Charles E. Pidcock continued to fire his sub-machine gun at close range until his tank exploded, and threw him into a nearby hedgerow. The enemy had been dissipated; all three tankers were later awarded the Silver Star for their gallantry in action. After the above action the column passed through the town of
Huelgoat and bypassed the fighting, Company C commanded by Captain Daniel E. Smith was ordered to relieve Company A as part of the advance Guard. The actual transfer, however, did not take place until next morning, and that night enemy patrols infiltrated through a company bivouac area in the forward area, throwing grenades and causing one casualty before being driven off.
http://www.super6th.org/tank68/tank68_2.htm
SERGEAIT JOBH S. SEIDESBUBG
PURPLE HEART MEDftL
A COMPAGNY 68th TANK BATTALION 6th ARMORED DIVIS1ON
0F PHILADELPHIA, PENNSYLVANIA
KILLED II ACTION, HUELGOAT, FRANCE
5 AUGUST 1944
SGT John Seidenburg was a tank commander in thé 3rd Platoon. In Huelgoat his platoon was fired on by a German sniper. The men took cover In their tanks. John raised his head to spot thé sniper who fired again and narrowly missed him Outraged, he courageously exposed himself to fire at thé sniper with thé tank's .50 caliber
antiaircraft machine gun. The sniper's next shot killed John with a bullet in his head.
Technician fouth grade Charles BAIR purpleheart medal
A company 69 th Tank Battalion
of Punxsutawney Pennsylvania
Killed in action, near Huelgoat France
He entered the service in march 1942 and served in Arkansas and California.. On 5 august 1944 Charles BAIR was a tank driver for one of the tanks chosen to escort the commanding general from one combat command to the other combat command .,Upon arrival they found the second combat command was having difficulty taking a village near Huelgoat. The two tanks were ordered to assist in the attack. During this attack
Tec 4 Bair'’s tank was knocked out by an enemy 88 mm anti-tank gun, resulting in his death. The advance continued and Charles Bair was listed as missing in action The French recovered his body and buried him in the churchyard at Huelgoat
Il est bien celui tué au petit moulin que Jean Marie Le Scraigne en parle dans son livre,
Dans les combats de la route de Brest, du petit moulin et de Kervinaouet, les Américains n'eurent pas de perte. Eux étaient à l'abri dans leurs engins blindés. Ce n'est qu'après la fusillade que l'un d'eux, en faction sur la route en face de la maison Urvoas au'p'tit moulin, fut tué par un tireur isolé camouflé dans les roches surplombant la rivière du côté du Fao.
La fille Urvoas (Mme Morvan maintenant) m'a récemment raconté que, travaillant à l'Hôtel d'Angleterre à l'époque, elle dut, en rentrant de son travail le soir, enjamber le corps du soldat américain, couché en travers de sa porte.
Le 5 août 1944, la deuxième brigade américaine
commandée par le colonel Hanson, reçut l'ordre de contourner Carhaix et de
poursuivre vers Brest. Après avoir traversé Poullaouen, où s'était déroulé un
accrochage meurtrier, le détachement continua sa route, avec les FFI comme
garde-flanc, vers Huelgoat. Sur le pont Mikaël, le char du lieutenant en second John W. Schnepp heurta une mine et s'immobilisa. Le lieutenant fut
tué par un tir de mitrailleuse, ainsi que son chauffeur, le soldat Bennet.
Agé de 25 ans, John Schnepp était diplômé de
l'école supérieur d'Audubon (New-Jersey). Avant d'entrer dans l'armée en Avril
1942, il travaillait chez un éditeur. Il a été envoyé en Europe en février 1944.
Il est enterré au cimetière anglo-américain de Saint James (France. Le lieutenant Durden qui descendait la route,
également sous le feu de mitrailleuse, tomba à son tour. Le nom du soldat
Charles Blair dont le corps fut retrouvé quelques jours plus tard et du
lieutenant Weider figure aussi sur cette plaque inaugurée en
1995.
http://fr.topic-topos.com/plaque-commemorative-locmaria-berrien
Charles Blair a été tué au Petit moulin au Huelgoat, Il n'a pas son nom sur la plaque de Locmaria-Berrien. et il a oublié où le
lieutenant Weider
a été tué.
Le canon russe Potinov de 76,2mn de kervinouet
|
La libération du Huelgoat
Auguste Jézéquel, l'instituteur qui devint président du comité local de Libération, a consigné la libération du Huelgoat qui eut lieu les 5 et 6 août 1944- Son récit a été intégralement publié par Georges-Michel Thomas et Alain Le Grand dans le tome II de leur ouvrage : Le Finistère dans la guerre. Laissons la plume à Auguste Jézéquel :
A la lecture de ce texte, digne de Tartarin de Tarascon , il ne peut pas être un témoin de la libération du Huelgoat ce 5 août 1944 ?
« Dans Huelgoat même, du côté allemand, se trouve un bataillon d'infanterie (deux compagnies à l'école libre des filles, une à l'école publique des filles, une disséminée en ville et à l'hôtel du Lac), appuyé dans le village de Kervinaouet, dominant la ville à 1 500 mètres, par une batterie de cinq canons de 77 ; des troupes cantonnent également à La Coudraie, siège du dépôt d'intendance d'une division, avec munitions,
essence, etc. ; le dépôt d'une seconde division est à l'hôtel du Lac, l'état-major à l'hôtel d'Angleterre. De l' essence?plutôt de l' avoine pour leurs chevaux !
Le canon de 77 est le canon mythique français de la première guerre mondiale ,d' après Jean Marie il y avait huit gros canons à traction hippomobile et une mitraillette anti- aérienne.
Du côté civil français, il reste peu d'hommes disponibles; les mobilisables ont rejoint leurs maquis respectifs...( le mythe que tous les français étaient des résistants)
A 15 h moins 10, brusquement le canon tonne : les blindés américains arrivent à {'improviste de la direction de Plouyé, renseignés sur les positions allemandes et guidés sur Bellevue par les Patriotes, ( faux à la lecture du témoignage de Jean Marie dans son livre ,un tank fut détruit) réduisent au silence les batteries de 77 de Kervinaouet qui n'opposent d'ailleurs qu'une faible
résistance. Les artilleurs mettent leurs pièces hors d'usage et s'enfuient en débandade dans la campagne ou sur la route de Brest. Plusieurs seront faits prisonniers quelques heures plus tard. Avant leur fuite, ils tuent Georges Le Scraigne. (faux les américains arrivent au bourg à 11 heures 30 ".heure anglaise")
A 15 heures, les chars d'assaut descendent la rue des Cieux tournent à gauche au carrefour dit "Le Pont-du-Four", cannonent et mitraillent la Kommandantur, la rue de Brest, la place du jardin des Plantes où se tiennent des Allemands ; quelques hommes sont tués et quatre officiers qui voulaient fuir dans une traction avant sont carbonisés sur place.
Tandis que le flot de l'armée motorisée américaine déferle dans les rues et sur la place, les Allemands se camouflent dans les bois environnants; ils se ressaisissent,, se réorganisent et des contacts s'établissent bientôt entre eux et les chars à l'entrée est de la ville (route nationale de Carhaix). Deux chars attaqués à la bombe sont bientôt mis hors de combat et prennent feu : six Américains y trouvent la mort.
( faux deux morts , voir le témoignage des américains) il y a eu quatre morts américains au Huelgoat et aussi quatre au Pont Mikael
Les fantassins de choc des autos blindées patrouillent dans les ruelles, les rues, au bord du canal d'alimentation de l'usine électrique, aidés par une vingtaine de résistants valides qui se sont munis d'armes et de munitions au dépôt de l'hôtel du Lac. Des coups de feu sont échangés tuant quelques Allemands. A. Quéméner, volontaire, est abattu auprès d'un Allemand qu'il vient de tuer. Sur tout le flanc est du Huelgoat,
les résistants se dépensent sans compter pour empêcher des infiltrations allemandes.( le seul tir réussi blessa un américain)
Un groupe de quatre nazis, armés de mitraillettes, pénètre dans la cour de l'hôtel de France, puis dans la rue des Cendres et, sur un parcours de 60 mètres, ouvre les portes de chaque maison et abat par balles, en quelques minutes, 12 personnes :
6 hommes et 6 femmes. Ainsi est assassiné M. Le Dilasser, maire (pétainiste), au moment où il ouvrait la porte sur laquelle on frappait des coups répétés ; M. Le Dilasser n'avait pas voulu, malgré les abjurations de ses amis, MM. Lecomte, futur préfet de la Libération, Kérautret et Lagathu, ingénieurs(ces deux derniers
rescapés de cette liste, sont des notables , titulaires de la médaille de la francisque pour le suivi des chantiers des sites des barrages de la centrale hydroélectrique de Saint Herbot.Ils ont su à temps de changer leurs vestes de pétainistes! Mon père le FFL me disait de ceux- ci) demeurer avec eux dans l'abri de son jardin où tous les quatre étaient descendus quelques minutes plus
tôt. Mme Dilasser, hôtelière, sera fauchée près du lit de son mari qui venait d'être blessé par une balle égarée ; Mme Le Scour, son fils Jacques et sa fille Simone sont abattus d'une rafale, à l'entrée du magasin de sa belle-sœur, Melle Querneau, qui ne doit son salut qu'à une heureuse chute précédant de peu le crime ; Mme Le Boulch subit le même sort dans sa cuisine, devant son fils de 4 ans, ainsi que son père M. Louis Cosquer. Poignardée, puis fusillée, Melle Marie-Anne Le Gall
a sa maison incendiée(la Roche cintrée) ; M. Kermanach, ligoté dans la cave, ne devra son salut qu'à l'extinction de l'incendie; M. Pierre Le Scanff, vieillard impotent de 75 ans, est abattu en pleine rue... Ces scènes de sauvagerie inouïe se déroulèrent vers 16 h 10. ( il oublie les deux tués des trois civils de mon quartier de la Roche Cintrée ) En sortirent à la faveur des ténèbres d' après Jean Marie
A 18 heures, le combat cesse. Les Allemands, sur ordre, vont se regrouper dans les bois de la Roche Cintrée et de La Coudraie, où ils seront mitraillés et bombardés par avion... faux le lendemain d' après Jean Marie
Le lendemain matin 6 août, dimanche traditionnel d'ouverture des fêtes locales, les hommes du maquis et les Américains venaient cantonner au Huelgoat et nous apporter la sécurité. »faux on entendait au bourg le tonnerre des combats dans la nuit du samedi et le dimanche Une sécurité, conclut Jézéquel, qui se paya par un triste bilan : 17 morts français et 6
américains. (faux 8 américains et 15 civils)Ils étaient cantonnés à Crois-an- Herry en La Feuillée.
Sujet tabou: il ne parle pas des 113 prisonniers parachutistes allemands que les alliés venaient de confier aux résistants FTP et du raid meurtrié allemand de Brasparts qui en résulte et où 22 résistants et une civile de Brasparts perdirent
la vie.
Ce sera d'ailleurs, pour la libération du Finistère, les combats les plus meurtriers opposant des "FFI "aux troupes allemandes
A Huelgoat, le 5 Août, s'engagent d'âpres combats,
consécutifs aux atrocités commises, là aussi, par les barbares teutons,
abominablement ivres d'alcool ce jour-là. Procédant de maison à maison, ces
assassins tuent le Maire, M. Dilasser, à coups de mitraillette, sa femme qui lui portait
secours tombe à son tour. Mme Boul’ch est poignardée par les parachutistes sous les yeux de
son enfant de cinq ans. M. Cabioch est entraîné par deux Allemands et tué au couteau. M. Le Scour subit le même
sort et sa mère est poignardée après avoir eu les deux mains coupées par ces
brutes. Le carnage est arrêté par irruption
dans la ville à 15 h. 30 des premiers éléments américains au moment où les
boches se préparaient à l'incendier. La compagnie Jean Riou venge les morts
en procédant à un nettoyage rationnel des bois où se sont enfuis les Allemands.
Ce texte
d'un notable FTP communiste écrit en 1946 est des pures inventions des faits avérés de ce 5 Août, il est abject et répugnant. Il cautionne et
avalise sans détour ce qui il appelle un nettoyage rationnel : ce massacre des trois soldats allemands perdus sur le
chemin de la Mare aux sangliers, coté Berrien qui ne demandaient qu' à se
rendre aux américains .On a retrouvé leurs plaques en 2016, les
corps de ces victimes de ce massacre doivent être toujours là? Aujourd'hui , je ressort de l'oubli un de ces nombreux crimes de guerre et exactions envers des civils des résistants locaux d'obédiance communiste!
Épisode particulier : le 6 août 1944 ( le lendemain de la Libération du Huelgoat) devant l'hôtel du Lac à Huelgoat se situaient des wc publics. Henri Bris (Edouard) l'un des plus anciens résistants du secteur, chef de section de Bir Hackeim, pris d'un besoin pressant demande à Monette Kermanach, agent de liaison, de garder son arme, une carabine U.S. (récupérée en échange d'un RM. allemand). Monette, examinant l’arme la
porte à son épaule, et à son grand étonnement voit un soldat allemand sortir des wc, les bras en l'air. Elle fera donc là son premier prisonnier, à l'étonnement d'Edouard qui n'avait rien vu.
Un Franc- Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic
|
Crimes
nazis lors de la libération de Huelgoat
Le samedi 5 août 1944 vers 15h00, Huelgoat était
libéré de l'occupation allemande par des contingents de chars de l'armée
américaine, écrit dans son rapport le capitaine Hemery161. Des
combats loyaux eurent lieu entre l'avant-garde américaine et les unités de la 3ème
Division allemande de parachutistes (1) stationnés dans le village et ses environs.
Les Alliés perdirent dans cet engagement trois hommes et deux chars et les
Allemands eurent une cinquantaine de morts, 150 prisonniers et de nombreux
blessés. L'ovation faite à nos
libérateurs fut indescriptible. Les cloches sonnèrent à toute volée et les
drapeaux sortirent de leur cachette où, depuis quatre ans, ils attendaient
cette heure solennelle. Pendant que les habitants donnaient libre cours à leur
joie, les Allemands regroupés dans la forêt à l'Est de la ville, se préparaient
à une contre-attaque en employant les cheminements qu'ils connaissaient
parfaitement par suite de leur séjour prolongé dans notre localité. Ils s'infiltrèrent donc par petits groupes le long des
talus et des haies et firent leur réapparition vers 17h00 dans le jardin de l'hôtel de France. Ils pénétrèrent dans cet établissement par la porte de
la cour, montèrent à l'étage où ils trouvèrent madame Le Dilasser soignant son
mari qui venait d'être blessé d'un coup de feu. Ils abattirent cette femme à
coups de mitraillette devant sa fille de cinq ans, terrifiée d'horreur. Ce forfait accompli, ils
traversèrent la rue et pénétrèrent chez Mademoiselle
Quemeau, marchande de vins en gros, où ils abattirent sauvagement madame
Lescour, sa fille et son fils. Mademoiselle Quemeau et sa bonne ne durent leur
salut qu'en se dissimulant derrière des fûts de vin. Ensuite,
ils frappèrent à la porte chez M. Le Dilasser, maire d'Huelgoat, en se faisant
annoncer par le mot « Samy. » Dès la
porte ouverte, il fut mitraillé à bout portant dans son couloir. Dans les
immeubles contigus, ils tentèrent d'ouvrir les portes et y jetèrent des
grenades qui occasionnèrent des dégâts importants. Un autre groupe
d'Allemands, animé des mêmes intentions, passait plus à l'ouest de l'hôtel de France et pénétrait par le jardin dans l'habitation Cosquer. Ces soudards
expulsèrent de leur demeure M. Cosquer, ex-gendarme en retraite, sa femme, leur
fille madame Le Boulch, institutrice, et son enfant âgé de cinq ans. M. Cosquer
et madame Le Boulch furent lâchement tués à la mitraillette. Madame Cosquer et
sa petite fille furent gravement blessées. Un troisième groupe explorait d'autres immeubles dont les occupants
avaient fui. Il mitrailla dans les rues monsieur Le Scanf (80 ans), ancien
facteur en retraite et madame Rouiller qui tous deux regagnaient leur domicile.
Ces deux personnes furent mortellement blessées. Au même moment sur la route
de la gare, les mêmes scènes d'horreur se continuaient.Monsieur Mouzer, autre facteur en retraite et sa voisine mademoiselle
Le Gall étaient également abattus au rez-de-chaussée de la maison de cette
dernière. Sébastien Kermanach, retraité de la Marine, fut arrêté et conduit
brutalement dans la cave de la maison précédente qui semblait être, en raison
de sa situation isolée, le poste de commandement de cette horde de sadiques.
D'après ses déclarations, le sang des deux pauvres victimes ruisselait au
travers du plancher...- Constatez, lui dit-on, l'œuvre de vos patriotes... de vos terroristes.Il allait être passé par
les armes quand l'arrivée d'un char américain mit en fuite ses lâches
agresseurs. A l'instant même Henri Cabrioch, autre retraité de Marine, allait être
lâchement assassiné dans sa propriété. Son corps mutilé fut retrouvé quelques
heures après par des membres de sa famille.Voilà
brièvement relatées les scènes d'horreur qui se sont produites à Huelgoat le 5
août 1944 lors de notre libération...
Le 8
août, on découvrait dans le village de Kervinauet, sous un tas de paille, le
corps de Georges le Scraigne, tué par les allemands d'une balle dans la tête.
Il y avait une batterie d'artillerie que les Allemands avaient installée le 3
août précédent. (1) erreur c'est la 2ème
Division allemande de parachutistes de Ramcke
161 Archives américaines.
|
.Marie Le Boulc'h , une institutrice de l' école des filles du Pouly dont son mari était prisonnier en Allemagne ( elle fut tuée par les Nazi , quelques heures plus tard dans la rue des cendres) s'interposa verbalement aux résistants que les alliés venaient de confier les 113 prisonniers allemands pris lors des combats,
nos résistants de la dernière heure criaient à tout venant qu'ils allaient les fusiller et après les jeter dans le Gouffre, mais la raison fut là, grace à elle, ils les amenèrent sous bonne garde à Brasparts .Le 16 août 1944, ces mêmes prisonniers allemands seront libérés plus tard par l'audacieux Lepkopvski ,commandant de régiment parachutisme au cour d'un raid digne d' un film américain
où 22 résistants et une civile perdirent leur vie . ( Un allemand ne se rendait jamais aux français et pour cause! ( certains actes de résistances locales des FTP ne sont avérés des exécutions sommaires d'allemands qui se rendaient.)Mon père le savait, en hiver1944-45 , il portait l' uniforme US ,avec l' aide d' un alsacien germanophone
,ils négocièrent le réédition d'une dizaine d' officiers allemands armés dans une casemate ,mon père avait réussi à leurs faire croire qu'il était un militaire américain. ( il n'a jamais su qu'il avait pris prisonnier dans ceux ci un général; en Alsace; un exploit d'un matelot digne d'un officier donc de ce fait anonyme dans les archives et occulté par son hiérarchie) Pour cet acte de bravoure, il lui a été décerné une citation au régiment.)
é
La stèle en granite aux 8 jeunes américains morts lors des combats autour du Huelgoat le 5 juillet 1944 (Place de la mairie) érigée 50 ans plus tard.
Le soir venu des paras allemands sous l' emprise de l' alcool, à la recherche de vin (témoignage d'un fils d'une des survivants Melle Querneau) sortirent du bois massacrèrent aux fusils mitrailleurs des habitants innocentes de la rue des Cendres , ( des crimes de guerres gratuits perpétrés sur des civils et des femmes ,vu
que les combats entre militaires étaient terminés .).
Forçant l'entrée du bar de l'Hotel de France ( aujourd'hui une galerie d'art ) dans la rue des Cendres qui possédaient à cette époque deux négociants en vins, les paras montèrent à l'étage ou Marie Le Dilasser soignait son mari blessé d'un coup de fusil .Ils abattirent cette malheureuse femme à coup de mitraillette. De là ils allèrent à la maison négociant en vin Querneau ,où ils mitraillèrent
tuèrent Mme Le Scour, née Querneau Adèle , Simone Le Scour et Jacques Le Scour .En sortant ils tirèrent sur une maison en face ,tuant Adéle Rouiller à travers les barreaux de sa fenêtre
Ils frappèrent à la porte du notaire M François-Marie Le Dilasser ,maire de Huelgoat ,qui leur ayant ouvert , tomba sous une rafale de mitraillette.
Dans cette même rue des Cendres furent abattus Louis Cosquer, Marie Le Boulc'h ,son fils de 4 ans,Jean-Michel doit sa vie à sa mère , elle s'allongea sur son fils pour le protéger quand la rafale l'a atteint , Pierre Le Scaff vieillard impotent de 75 ans, est abattu en pleine rue..
"Dans le quartier de la Roche Cintrée " et de la route de la gare les Nazis causèrent la mort de Jean Baptiste Mouser de Marie Anne Le Gall et Henri Cabioch "qui rentrait chez lui" .
Georges Le Scraigne fut tué lors des premiers combats de la Libération du bourg à kervinaouet.
Sur cette photo prise rue Neuve Auguste Quémener qui avait participé à la libération , on le voit fusil à la main gardant des prisonniers allemands il fut tué quelques minutes après derrière l' église
.
ref Le Finistère 1940-1944 l'occupation Allemande la Résistance la Libération édition La découverte 2004 il y a une erreur dans le texte sur Huelgoat de ce livre ,Mme LE Scour est Querneau Adéle.
Une quinzième victime Jean Sessa, un ouvrier huelgoatain des carrières mais un immigré , un rital, un citoyen italien ,fut aussi tué sous les balles des paras allemands, de ce fait non comptabilisé comme martyr du 5 aout 1944 par l' administration de la mairie ,du fait qu'il n' était pas français malgré que son décès soit enregistré au registre
des décès de la mairie au jour du 5 août 1944 et de plus il a son nom sur notre monument aux morts . Une seizième victime un gas de Berrien mort chez lui suite de ses blessures ?
14 noms des 16 victimes civiles hommes et femmes de ce 5 Aout 1944 au Huelgoat n'ont pas été gravés sur du granite du pays. Il manque deux victimes : un gas de Berrien mort de ses blessures le lendemain à Berrien et un italien nommé Jean Sassa qui a son nom sur notre monument aux morts .
Les habitants du centre du bourg n'ont pas été
aussi chanceux que nous lors de la contre-attaque. Les Boches ont pénétré dans
les maisons et tiré sur ceux qui s'y trouvaient. Le maire était dans son jardin
et, entendant cogner à sa porte, il est allé ouvrir. Mitraillé. Comme seize
autres victimes des Boches, sauvagement assassinées, sans compter les
Américains morts au combat témoignage de la Libération du Huelgoat d' un réfugié brestois qui fréquentait que les notables locaux mais pas nous les ploucs huelgoatains, une seule phase dans ce recueil de souvenirs de ce massacre et pour ne parler que de la mort du maire d' alors nommé par le gouvernement de Pétain .Il a raison 16 victimes civiles et non 14 inscrits sur la stèle
commemorative Il manque un gas de Berrien mort de ses blessures à Berrien et un italien Jean Sassa
Le rituel des femmes tondues se déroula au Huelgoat quelques jours après ces événements quand le bourg fut plus calme ,il fut organisé par les résistants du canton de la dernière heure et les commissaires politiques FTP .
Une jeune fille de Berrien fut tondue à tord, dénoncée pour collaboration allongée par un FTP éconduit par celle-ci. ( source: la mère de Alain ,jeune fille à cette époque) mais aussi la femme d'un propriétaire d' un grand hotel , les deux filles d'un notable, amies d' officiers allemands logeant chez leur père furent épargnées à la dernière minute par l' intervention du docteur Margarita
,la mère du Baron Noir de Berrien ,ect.. Un des mes copains d' enfance ,il y a trois mois , il en pleurait, il m'a posé la question si je savais que sa mère avait été tondue, il venait d' apprendre ce fait avec une méchante fille étrangère du Huelgoat. je ne pouvais lui répondre que" oui".
Les FTP dans la Résistance dans les Monts d' Arez étaient le fer de lance du Parti communiste: celui ci, il en fait son bastion finistèrien dans les années d' après-guerre . Huelgoat était devenue une petite Russie((Ses Koulak et ses camarades) , les ordres et les orientations politiques venaient de la Fédération de Brest, pour rentrer à l'hospice
prend ta carte au parti .( le bon temps de ma jeunesse)
Jean Marie Le Scraigne, le dernier de nos chers staliniens huelgoatains dans son dernier livre explique bien cela" Drôle de guerre. Occupation. Résistance" page 86/ Les américains venaient de faire leur entrée
dans le bourg. ils ne s'y attardèrent pas longtemps , leur objectif était de bousculer l' occupant et de laisser le maquis occuper le terrain , ce que nous fîmes . c'est bien mot pour mot, aujourd'hui la politique des intégristes (résistants de la dernière heure) qui ont pris le pouvoir lors de la Révolution Arabe.
|
Pour ces exactions de guerre comme ceux du Huelgoat lors de la bataille de Brest , le Nazi Hermann-Bernhard Ramcke (Pourquoi Ramcke fut capturé dans la presqu'île de Crozon et non à Brest ? HITLER avait préparé sa fuite de la presqu'île de Crozon où devaient y décoller deux hydravions pour l' île de Jersey sous contrôle
allemand , Hitler voulait en faire son dauphin. Cette opération commando allemande était bien programmée mais ne put pas se faire?Ce qu'on dit aujourd'hui à Camaret) .Il n'a jamais été sanctionné pour ce crime de guerre de civils de ses hommes . La faute vient à la municipalité huelgoataine communiste d' après-guerre qui n'a vu l' opportunité de se pouvoir partie civile à son procès en France .
Je ne dirais pas que les victimes étaient en majorité des ré-gwenn ( des commerçants et un notaire maire pétainiste) (tous deux, le secrétaire de mairie le maire étaient de fidèles exécutants des ordres de l' occupant et respectueux des lois de Vichy Jean Marie Le Scraigne, page 42), Je pense du fait qu'on ne sache
pas devant la justice que les FTP communistes locaux avaient une lourde responsabilité directe, ils n' étaient pas là pour protéger les civils du bourg ce samedi soir 5 août au Huelgoat . Mon père ( fusiller marin ,FFL du RBFM (régiment de chasseurs de chars de la 2e division blindée rattachée à la IIIe armée américaine comme la 6e division blindée US libératrice de Brest) avait combattu ces mêmes parachutistes allemands en Tunisie et s'est battu lors de la Libération de nombreuses villes françaises tenus par les allemands( son char et son équipage furent les premiers
à renter à Baccarat ) et m'avait affirmé comme aussi cet ancien officier américain venu un 5 août au Huelgoat qui avait participé à la bataille de Brest ,celui ci avait dit ce jour là à mon père que les résistants FTP locaux étaient que des" Pieds nickelés" et des "Tartarin de Tarascon".
. L 'Omertà au Huelgoat était de mise dans les années d' après guerre sur cette journée noire du samedi 5 août 1944. Je suis le fils de l'un des deux FFL gaullistes de la commune , libérateurs de Paris et de Strasbourg, Mes instituteurs de l'école laic et les anciens proche de la Mairie ont réussi à faire croire à ceux qui n'avaient pas connu
la guerre cette propagante communiste ,sauf ceux de ma famille, que Huelgoat et les Monts d'Arez avaient libéré par eux les résistants FTP en occultant de l 'authenticité des intenses combats du Huelgoat entre parachutistes nazis et les jeunes venus d'Amérique frères d'armes de mon père . Un mythe nouveau était créé, celui de la Résistance communiste libératrice de La France.
Jean Marie Le Scraigne, notre dernier véritable communiste huelgoatain, sur sa guerre, parle peu et avec mépris des américains, occulte les vrais libérateurs du Huelgoat et de la poche de Brest," des plaqués dans leurs chars" dans son livre récent (Drôle de guerre. Occupation. Résistance 2011.). il
veut nous faire croire que les américains , ils étaient des sauvages qui laissaient leur morts après eux :( elle dut, en rentrant de son travail , enjamber le corps du soldat américain , couché en travers de sa porte page 92)
(Dans les combats de la route de Brest du petit moulin et de kervinaouet , les américains n' eurent pas de perte. Eux étaient à l' abris dans leurs engins blindés. page 92) Cette phrase est insultante envers nos libérateurs américains et ma famille et la mémoire de mon père décédé, huelgoatain comme lui .Mon père avait raconté à Claude son voisin que ses
tirs de mitraillette sur la tourelle de son Chasseur de char M10 Wolverine contre des snipers embusqués avaient sauvé la vie à ses compagnons d'armes dont un reconnaissant jusqu' à devenir son frère de guerre .Mon père était son petit breton,il le rencontrait encore la guerre terminée quand il passait ses vacances
à l’Hôtel de la Plage de Sainte Anne La Palud .Son nom est connu de tous, c'était le second maître Jean Moncorgé dit Jean Gabin.
Le 31 aout 1944 la section spèciale de Carhaix et un groupe d'Huelgoat parviennent en fin d'après- midi à 200 mètres du Ménez-Hom arrossent le sommet au mortier ,mais sont contraints de rebrousser chemin. Au cours du repli Yves Lamandé de la compagnie d' Huelgoat est mortellement bléssé .Son évacuation sous le feu ennemi est impossible .Le FFI décède vers minuit
,au moment où ses camarades réussissent à le rejoindre. L'enfer de Brest Heimdal Brest-Presqu'île de Crozon, 25 août-19 septembre 1944 de Henri Floch, Alain Le Berre.
.Ce tableau de Paul Marzin est caché du public dans le bureau du maire du Huelgoat : Il faut comprendre pourquoi?
Chef FTP d’obédience communiste dans le Maquis ( ses esquisses des lieux stratégiques et des officiers allemands de mémoire valaient tous les photos pour les renseignements de Londres. Ce qui nous disait en classe ,notre maitre Louis Priser)
Le Raid allemand de Brasparts, du
16 août 1944.
Quand le lieutenant) Erich Lepkowski avait été appelé à commander la 5e compagnie e, il savait cette mission audacieuse devrait réussir. L’échec a signifié la mort certaine
pour 130 de ses camarades de Fallschimjager (parachutiste) camarades d’armes.
Lepkowski était déterminé à les sauver, car ils feraient
certainement la même chose pour lui. Il a pris la tête de la mission de
sauvetage et sans un instant à perdre, a appelé des volontaires. Il regarda
avec fierté tous ses hommes s’avancer pour se joindre à lui.
Lepkowski a décrit les détails froids et durs de la
situation. Les partisans des forces Français de l’intérieur (FFI) ont attrapé
plus de 130 de leurs collègues fallschirmjàger. Quelques soldats ont pu
s’échapper et ont fait le voyage pénible à travers le FFI et le périmètre
américain et de retour aux lignes allemandes.
Les soldats ont indiqué que les Français maltraitaient les
prisonniers. Malheureusement, des rapports de ce genre étaient tragiquement
communs car les combattants Français nouvellement habilités ont exigé la
vengeance terrible sur les prisonniers allemands pour l’occupation. L’espérance
de vie d’un Allemand capturé dans les mains de la Français n’était qu’une
question de combien de temps ils imaginaient le garder en vie. Parfois, ce
n’était que des minutes ou des jours, si le prisonnier allemand a eu de la
chance.
Lepkowski congédia ses hommes pour se préparer à la mission.
Pendant ce temps, il a planifié comment il allait obtenir sa force tout le
chemin à l’endroit où les prisonniers étaient détenus, à environ de 50 km) de distance dans un
petit village appelé Brasparts. D’une certaine manière, Lepkowski avait besoin
de percer le mince périmètre américain et à travers le territoire FFI, sauver
les prisonniers avant que la FFI puisse les exécuter, puis revenir à Brest le
plus rapidement possible.
La force n’avait que suffisamment d’hommes, d’armes et de
munitions pour un seul aller simple... c’est-à-dire s’ils ont été forcés pour se frayer un chemin dans les deux sens. La clé du
succès serait de se faufiler dans Braspats, de faire jaillir les prisonniers,
puis de se frayer un chemin vers les lignes allemandes.Lepkowski courut autour de tout le quartier général
régimentaire dans la division et a recueilli autant de la capturée
Camions alliés comme il le pouvait. Il avait tous les
insignes allemands dépouillés, étoiles alliées peintes sur, et des inscriptions en français de libération griffonnés sur les côtés. Les
parachutistes ont ensuite mis Français vêtements partisans sur leurs uniformes
et montés dans les véhicules « alliés ».
Le génie de Lepkowski a été en partie grâce à son commandant
divisionnaire général Hermann-Bernhard Ramcke,
qui avait gagné une réputation pour lancer des raids
audacieux et réussis contre les Alliés en Afrique du Nord. Ramcke s’inquiétait
également pour ses hommes capturés et il autorisa Lepowski à utiliser trois
chars américains capturés pour renforcer la puissance de feu de la mission de
sauvetage.
Juste avant le départ des véhicules, les parachutistes ont
ajouté d’autres pièces à leur déguisement. Des drapeaux américains et Français
ont été hissés à partir des véhicules pour aider à tromper les soldats FFI et
américains, mais ont également servi à les protéger contre tout avion ennemi
qui pourrait voler au-dessus.
En outre, de fausses ordonnances de libération des
prisonniers sous la garde des « Américains » de Lepkowski ont été rédigées pour
aider à persuader la FFI de remettre les prisonniers.
Enfin, à titre de mesure de sécurité supplémentaire, des
soldats Français ont été choisis pour conduire les véhicules au cas où ils
auraient été arrêtés et interrogés.
En outre, de fausses ordonnances de libération des
prisonniers sous la garde des « Américains » de Lepkowski ont été rédigées pour
aider à persuader la FFI de remettre les prisonniers. Enfin, à titre de mesure
de sécurité supplémentaire, des soldats Français ont été choisis pour conduire
les véhicules au cas où ils auraient été arrêtés et interrogés.
Dans les premières heures du 16 août Lepkowski a donné
l’ordre d’avancer. La colonne de 18 camions et trois chars s’est penchée vers
le défi, le périmètre américain.
Les Fallschirmjàger lança plusieurs attaques de diversion et
les Américains réagit consciencieusement. Alors que les Américains étaient
distraits ailleurs, Lepkowski a glissé à travers les lignes et dans le
territoire FFI. La colonne a traversé plusieurs points de contrôle. La FFI ne
soupçonnait rien, surtout qu’une entreprise entière de Fallschimjoger était
cachée à la vue de tous !
Alors que la colonne approchait de Brasprats, les
Fallschimjoger à l’arrière des camions enlevaient leurs déguisements,
descendaient les revêtements de toile sur les lits des camions et préparaient
leurs armes. Les hommes étaient assis tranquillement pendant qu’ils écoutaient
les gardes de la FFI discuter avec les conducteurs. Bientôt, le camion se
déplaça à nouveau et la colonne est entrée dans la ville.
Les prisonniers étaient détenus dans un petit bâtiment
scolaire. Lepkowski déplia une carte avec des notes et des directions
griffonnées au crayon rouge. Il a commandé la colonne à l’immeuble de l’école.
Comme ils ont tiré vers le haut à l’objectif, quelque chose s’est mal passé. Un
tir de fusil a craqué dans les airs et avec cette ruse de Lepkowski était en
place!
Instantanément, les troupes de Fallschirmjàger sautèrent des
camions et se laissèrent en action pour sécuriser le bâtiment et la zone qui
l’en contourne. Les prisonniers à l’intérieur avaient entendu leurs camarades à
l’extérieur et ont rapidement maîtrisé les gardes, qu’ils ont ligotés et
emmenés avec eux.
Les deux forces allemandes étaient heureuses de se voir,
mais n’ont pas perdu un instant en battant une retraite hâtive hors du village.
Les parachutistes hautement professionnels ont facilement surmonté le FFI non
formé. Les chars ont bombardé les postes de garde de la FFI, des obus de haute
explosion assommant les quelques armes lourdes que les Français avaient.
Après environ 20 minutes de combat, les Fallschirmjàger ont
atteint le barrage routier du village. Les Français se sont battus et après une
bataille acharnée, les Allemands ont balayé les partisans Français et ont percé
sur la route.
La colonne s’est dirigée vers Brest en perçant les premiers
barrages de la FFI. Cependant, la résistance s’est accrue à mesure qu’ils se
rapprochaient de la ligne de front. Le FFI désorganisé a finalement réussi à
renforcer le dernier barrage de la FFI devant les Fallschirmjàger et une autre
courte bataille a éclaté. Une fois de plus, les chars ont ouvert la voie et ont
fait sauter leur chemin à travers le barrage routier. Les troupes allemandes se
sont montées à nouveau et ont poussé à travers.
Alors que la colonne atteignait le périmètre américain, ils
furent heureux de découvrir que les Américains étaient toujours occupés par les
attaques de plaisancier de Ramcke. La colonne reusa dans la forteresse de Brest
sans plus de problèmes.
Le raid de Lepkowski a été un succès formidable. La colonne
avait parcouru un aller-retour de120 km. Ils avaient secouru les 130 prisonniers
et capturé 15 soldats de la FFI. Lepkowski a été impressionné par les
combattants Français et a plaidé avec succès pour les faire inhumer comme
prisonniers de guerre réguliers, les épargnant du peloton d’exécution en tant
que combattants de la guérilla. Ce qui est encore plus étonnant, c’est que les
pertes allemandes n’étaient que trois soldats légèrement blessés malgré tous
les combats intenses.
Erich Lepkowski était un héros instantané. Ramcke le promu à
Oberleutnant (1er lieutenant) et il reçoit la Croix du Chevalier. Il continua à
fournir un excellent service à son bien-aimé Fallschirmjàger jusqu’à ce qu’il
soit horriblement blessé dans les derniers jours de la bataille pour Brest.
Lepkowski, un souffle ou deux loin de la mort, a été sauvé d’un tas de cadavres
par un médecin allemand et traité. Avec le temps, Lepkowski se rétablit
complètement et servit dans la force de parachutistes d’après-guerre en Allemagne
http://www.ww2incolor.com/german/Lepkowski-01.html
https://www.youtube.com/watch?v=d1gVGH-Mo7s&fbclid=IwAR0edEW8XgDVhOfzTr6yJKD1g3mWVBQdlfxmJ5xP9wuPECl0a8EgQGC0_5E
Le 16 août 1944 au matin, le
lendemain du grand pardon de la paroisse, une compagnie parachutiste allemande
commandée par le lieutenant Lepkowski et venant de Brest fait irruption
par surprise dans le bourg de Brasparts vers sept heures du matin, surprenant
les 3 FTP préposés à la
garde des 144 prisonniers allemands et la population: la méprise est totale (les
Allemands ont déguisé leur convoi, s'étant équipés de drapeaux français et de
deux half-tracks pris aux Américains), beaucoup croyant à l'arrivée des troupes
américaines... Les Allemands réussissent leur coup de main audacieux, libérant
les prisonniers, capturant 21 FTP, emmenant de plus deux personnes en otage,
après en avoir tué trois pendant les combats ainsi qu'une habitante du bourg].
Le retour de la colonne allemande
à Brest ne se fit pas sans combats où plusieurs résistants perdirent la vie,
notamment à Le Tréhou (6
morts) et à Irvillac (16 morts).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Brasparts
Sur le trajet de retour, les Allemands passent par Saint-Eloy, puis par Le Tréhou. À la sortie
du bourg en direction d'Irvillac,
les résistants de la compagnie de Plounéour-Ménez ouvrent le feu sur le convoi
mais cinq d’entre eux sont tués et le convoi allemand poursuit sa route en
passant par le carrefour de Croas Guerniel où un résistant est tué. Mais les
combats les plus sanglants ont lieu le même jour à Irvillac.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Tr%C3%A9hou
A Irvillac les résistants , à la vue des half-tracks pris aux Américains crurent qu'ils avaient des amis devant eux Quand les mitraillettes des commandos allemands crachèrent , il était trop tard .Quelques- un d'entre eux échappèrent au massacre.( Jean Marie Le Scraigne)
http://www.wiki-brest.net/index.php/Ao%C3%BBt_1944_%C3%A0_Irvillac
Les résistants tués durant ces combats originaires des Monts d' Arez sont:
-
La Feuillée (Yves Jaffrès, Jean Plassart, Marcel Postic, Pierre Salaun),
-
Brennilis (Louis Guével, Yves Bras, Charles Person),
-
Botmeur (François Bothorel, Henri Kerjean),
-
Huelgoat (Pierre Grall, Louis Drevillon),
-
Berrien (Yves Begat, Joseph Goasdoué
Lepkowski’s
Prisonbreak:The
Brasprats Raid, 16 August 1944.by
Mike Haught
http://www.ww2incolor.com/german/Lepkowski-01.html
-
-
Ce grand personnage de la Résistance est né en 1924 à La Feuillée . Il est le dernier du premier maquis de France celui de Tredudon .Un témoignage de ce huelgoatain qui est titulaire de la Grand Croix de la Légion d’honneur, l'un des derniers encore vivants de la Médaille de la Résistance,
titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 et de la Croix de guerre des TOE avec 12 citations. toujours présent ce 8 mai 2018 au Momument aux morts
-
Il n' a rien écrit dans son livre à compte d'auteur du plus grand revers de la Résistance dans le Finistère où treize de ses camarades des Monts d'Arrée se sont alignés comme des lapins et où plusieurs FFTP ont été faits prisonniers par les parachutistes de Ramcke Je ne comprends pas pourquoi ?
-
Lui, l' un des derniers lieutenants parachutistes qui avait sauté sur Dien Bien Phu encerclé et qui connu les camps de la mort des Viêt Minh .
|
http://www.alamer.fr/index.php?NIUpage=31&Param1=4146
https://www.youtube.com/watch?v=LT4hiBZUM6o&feature=share&fbclid=IwAR1qBph9K88srQfA5LI5ve5xzsSE5wPcGYV-q-zWFPi2LeX1zETuqlQki5A
Sur cette affiche familiale de Albert Brenet peintre de marine En 1944, il suit en tant que peintre le régiment blindé des fusiliers marins sur le front des Vosges Je reconnais mon père au beret marin sur le destoyer M10 le Strabourg du 3e peloton du 3e escadron du RBFM .
Mon père et son ami de l' amicale des anciens FFL du Finistère : Gwenn-Aël Bolloré membre des commandos Kieffer le 6 juin 1994 à Ouistreham 50 ans après Tous deux des bretons étaenti,des fusiliers marins des Forces françaises libres Le Premier hommage de la France aux français qui ont participé à la campagne de Normandie.
L'article de l' hebdomadaire Le Poher de juillet 2000 .La biographie de mon père
Beaucoup d' erreurs historiques dans ce texte sur le « bataillon Bizerte ».!
Le 8 novembre 1942, les troupes anglo-américaines débarquent en Afrique du Nord ; c’est un nouvel élan qui se présente pour cette poignée de marins (45 officiers, 333 officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots) qui veulent en découdre avec l’Allemagne. Les hommes emprisonnés indiquent leur désir de rejoindre Alger où ils seront acheminés dans le but de créer un bataillon de fusiliers-marins pour la prise et la tenue des batteries d’artillerie de marine de Bizerte.
S'il ne manque pas de marins pour embarquer, nombreux sont ceux qui vont aller combattre à terre, dans la grande tradition des fusiliers-marins Ils sont armés mais rapidement, ce rôle de surveillance leur pèse dans le « bataillon Bizerte ». Certains réembarquent, d'autres se voient proposer de rejoindre un régiment de chasseurs de chars en cours de formation. Le 19 septembre 1943, le bataillon Bizerte devient le Régiment blindé de fusiliers-marins, le RBFM (par décision 97 EMG/3 du 19 septembre 1943). Ils sont
ensuite acheminés vers Casablanca (Maroc) où ils percevront des tenues américaines1 et leur futur matériel. Ils sont rejoints par de nombreux volontaires (évadés de France, etc.). Mon père y faisait parti !https://www.facebook.com/groups/402497293152460/permalink/1633290713406439/
Le 12 novembre 1942 les forces de l'Axe investissent la base navale de Bizerte sans combat. 3 000 étaient affectés à la défense du camp retranchéde Bizerte, sous les ordres de l'amiral Derrien, préfet maritime Les troupes allemandes du général Gause occupent le port de Bizerte, sans défense après la capitulation de l'Amiral Derrien la veille, et interne la garnison française.
3 Torpilleurs, 9 sous-marins et 3 avisos français sont capturés par les allemands." Une poignée de marins échappèrent à la capture des forces de l'Axeé" 45 officiers, 333 officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots dont faisait parti mon père
Le général Anderson prend le commandement de la 1re armée britannique et envoie des colonnes motorisées vers Tunis et Bizerte pour empêcher l'installation des forces allemandes. Arrivée de troupes allemandes aéroportées sur l'aéroport d'El Aouïna, près de Tunis le 9 novembre 1942
Débarquement à Bizerte et à Tunis d'unités allemandes sous les ordres du général von Arnim. le 12 novembre 1942
Des détachements italiens pénètrent en Tunisie par la Libye. Les Italo-Allemands du général Hans-Jurgen von Arnim occupent la ligne Mareth, une série de fortifications pompeusement appelées "Ligne Maginot africaine", et construites par les Français pour protéger la frontière orientale de leur colonie. Le contingent français en Tunisie, avec un effectif de 10000 hommes commandés par le général George Barré, a reçu l'ordre
de se retirer vers la frontière algérienne. En l'espace de quelques jours, la Tunisie sera totalement occupée par les forces de l'Axe. le 13 novembre 1942
Les troupes allemandes continuent à prendre position en Tunisie : 10 000 soldats ont débarqué, appuyés par plus de 100 chasseurs. La 1re armée britannique entre en Tunisie et sa 36e brigade occupe la ville côtière de Tabarka, à 120 km de Tunis, sur la route de Bizerte . le 15 novembre 1942
Compte tenu de son implantation face à l’Italie, du danger des actions de l’aviation de bombardement, de l’étroitesse de son goulet, elle devait subir d’importantes et puissantes transformations. Après l’armistice de juin 1940, les troupes stationnées en Tunisie demeurèrent fidèles au gouvernement de Vichy, jusqu’au débarquement angloaméricain en Afrique du Nord ; mais au moment du débarquement le 8 novembre 1942, les hauts responsables
locaux de la Marine, notamment l’Amiral DERRIEN, ne surent pas prendre position, tiraillés d’une part, par la loyauté envers le gouvernement du Maréchal PETAIN, et d’autre part par les appels des généraux ayant rejoint les Alliés en Algérie et au Maroc., désirant reprendre les combats contre les forces de l’Axe.
Ayant trop tergiversé, les forces françaises en Tunisie furent prises de court par les Allemands qui dès le 9 novembre débarquèrent quelques troupes par des vedettes rapides, puis par transports aériens sans que les forces françaises s’y opposent, notamment sur la base de Bizerte et à Tunis… Et tout cela sans combat… Les 10 et 11 novembre une quantité importante d’hommes et de matériels arrivèrent à pied d’œuvre sans que les Alliés n’interviennent.
Toutefois des éléments importants des troupes françaises échappèrent à la capture et tentèrent de mener un combat retardateur contre les forces allemandes, et essayant de barrer la route vers l’Algérie aux troupes allemandes.
La base de Bizerte ne fut libérée que le 7 mai 1943 par des troupes US, encore se trouvait-elle dans un état assez chaotique compte tenu des bombardements et des combats.
http://amicale3rpima.com/wp-content/uploads/2015/02/Bizerte-Agostini.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Campagne_de_Tunisie
http://archives.ecpad.fr/la-campagne-de-tunisie-17-novembre-1942-13-mai-1943/
http://archives.ecpad.fr/tag/bataille-de-tunisie/
Mon père décédé le 6 juin 2010; l' administration navale française( collaborationniste durant toute la guerre) lui a toujours refusé la Légion d'Honneur au titre de croix de guerre trois citations dont une: seul avec un alsacien comme interprétte ils négocièrent la rédition d'un groupe d' officiers allemands .Il a eu une trépanation ,mais pas des preuves administratives vu que c'était dans un hôpital de campagne US du à un éclat d' obus US et le rédigé perdu d' nue citation de sa campagne de Tunisie ( il avait déserté la marine pétainiste de Darlan pour rejoindre la résistance FFL tunisienne et les alliés ,dans son livret militaire il est marqué pour cette période en Afrique où il était
condamné à mort par l' Etat français "congé sans solde" ) et la libération de la France au sein du Régiment de blindés des fusiliers marins de la 2 DB de Leclerc . De retour au Huelgoat il était considéré comme tous les FFL bretons des héros, mais avec le temps, on a occulté ses sauveurs de l' honneur et de son rang d' alliés de
la France pour le culte des martyrs des exactions nazis .
( Un allemand ne se rendait jamais aux français et pour cause! ( certains actes de résistances locales des FTP ne sont avérés des exécutions sommaires d'allemands qui se rendaient.)Mon père le savait, en hiver 1944-45 , il portait l' uniforme US au béret de marin ,avec l' aide d' un alsacien germanophone ,ils négocièrent le réédition d'une
dizaine d' officiers allemands armés dans une casemate en Alsace,mon père le breton avait réussi à leurs faire croire qu'il était un militaire américain. ( il n'a jamais su qu'il avait pris prisonnier dans ceux ci un général; en Alsace; un exploit d'un matelot digne d'un officier donc de ce
fait anonyme dans les archives militaires et occulté par son hiérarchie que j'ai retrouvé la preuve de sa bravoure sur le site ALAMER) "" Le RBFM mettra encore à son actif ......, et fera prisonnier le général allemand commandant le secteur"". Pour cet acte de
reddition de militaires allemands gradés, il lui a été décerné une citation au régiment.)
Le destroyer le STRASBOURG aux 13 victoires et le quartier-maitre Guillaume Corentin Le Borgne
Le 8 juillet 1940, De
Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare « J’aime mieux savoir que le « Dunkerque »
notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers
El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports
anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. »
Le Dunkerque était là, monté par la Marine de la France-libre , ce jour de Libération de Paris. Il porte sur l'avant le dispositif "hedge-cutter" très utile pour défoncer les haies du bocage normand lors des combats d' Alançon
Ce cliché emblématique ressemble à une iconographie religieuse, il a été pris le 25 août 1944 de la Libération de Paris Place de la Concorde,face à l' obélisque devant le ministère de la Marine, Rue Royale.
Régine a retrouvé ce cliché chez Mimi dans les archives de notre tante de Plouyé ce mois de juillet 2013 .
En fait cette photo est déjà connue, elle est dans l' album mémorial de la 2 DB édité en 1990.
Le tank Destroyer Dunkerque était le char de tête du 3e peloton du 3e escadron du RBFM. On reconnaîtra sur ce cliché, dans la tourelle, Robert Dunaux et Yves Jaouen, debout de dos, José Caja qui a trouvé la mort lors de la libération de Sarraltroff, Sur ce char c'est bien le marin au poste de la mitraillette notre père Guillaume Corentin Le Borgne.
Tout un symbole de la France- Libre sur ce cliché : Ce char destroyer TD M10 porte le nom de ce navire sabordé à Toulon en novembre 1942 sur ordre du ministère de la Marine. Ces fusiliers marins de Bizerte sont bien dans la posture prêt à l' abordage du ministère de la marine collaborationiste et pétainiste
qui a déshonoré la Royale qu' occupe ce palais Rue Royale.
A quel jour et quelle heure la colonne fut bombardée?
Ces deux clichés ont été pris le 26 août 1944 sur la place de la Concorde (vous remarquez qu' une colonne de l'hotel du Crillon , elle avait détruite ce jour là, soi disant par erreur par un des copains du 3e escadron de combat de mon père .Un résistant lui avait lancé "" Fais gaffe à la cinquième colonne !"" ) Je reconnais sur ce cliché: les tank Destroyer le Dunkerque et le Strasbourg du 3e peloton du 3e escadron du
RBFM.de la 2 DB, José Caja , les bras levés ,le chef de mon père Guillaume Le Borgne qui est à son poste de la mitrailleuse du destroyer le Dunkerque.
LIBERATION DE SARRALTROFF en Lorraine Récit... - Philippe Le Borgne
http://glangl1.free.fr/Parole/Page 1944.html
http://www.livresdeguerre.net/forum/contribution.php?index=1035
http://www.rbfm-leclerc.com/photos3escadron.html Le TD STRASBOURG sur la place de la Concorde, devant
l'hotel Crillon le 26 aout 1944
Le Monde illustré du 14 avril 1945
Les fusiliers marins (ceux du commando Kieffer n'ont pas eu l' honneur de défiler ce jour là) et du RBFM défilent dans Paris le 2 avril 1945 lors de la Journée des drapeaux. En fin de peloton à droite ,c'est bien mon père qui porte le fanion de son régiment..
.
A Vendenheim lors de la contre attaque allemande de janvier 1945
En Lorraine, un destroyer
tombe en panne au cours d'une patrouille hardie à 13
kilomètresà l'intérieur des lignes ennemies. Il y a là
un sous-officier et quelques hommes. Fidèles aux traditions de la Marine, ils
n'abandonnent pas leur char, ils se barricadent dans le village et attendent,
prêts à vendre chèrement leur vie. Pas d'Allemands en vue. Croyez-vous que les
marins vont rester cachés en attendant l'arrivée des secours ? Le premier jour,
passe encore, mais le deuxième ils partent en reconnaissance, armés de leurs
mitraillettes. Ils font prisonniers 20 Allemands et capturent leurs 20
bicyclettes. Le lendemain ils s'emparent d'une auto, d'un canon et de 20
chevaux et c'est montés sur leurs chevaux qu'ils recevront quelques jours plus
tard le détachement envoyé pour les délivrer.
Entre l’Ill et le canal Rhin-Rhône, l’attaque allemande, déclenchée le 7 janvier 1945, repousse la 1ère DMI qui subit de lourdes pertes. Au nord, les blindés allemands obligent les Américains à repasser la Moder, mais, le 22 janvier, l’intervention énergique de la 2e DB permet de stabiliser le front à une quinzaine de kilomètres de la capitale alsacienne, qui reste pourtant sous la menace allemande·
Dans ce livre de 1945 j' ai trouvé cette légende militaire écrit à chaud qui ressemble au fait de guerre de mon père
|
http://alamer.fr/index.php?A=2&B=4146
http://alamer.fr/index.php?A=3&B=421
Le 17 février 1965, les deux anciens combatants du Huelgoat ,Monsieur Hémery notaire qui avait su virer sa veste au bon moment et mon père FFL lors d' une visite aux armées du Général en Bretagne
La prise de Baccarat est le dernier plus haut fait de guerre de la France à aujourd’hui, sans carnages, sans bombardements et peu de pertes civiles et militaires , c’est pourquoi on n’en parle pas ! L’arrivée du 3e Escadron du RBFM marque la victoire de Baccarat .Mon père Guillaume Corentin Le Borgne y était de ceux –ci. (celui qui a la tenue US à la tourelle) de cette photo prise ce jour là).
31 Octobre 1944 . Libération de Baccarat le TD M10 Dunkerque, mon père à la tourelle .
http://www.france-histoire-esperance.com/campagne-de-lorraine-1944-31-octobre-1er-novembre-la-2e-db-libere-baccarat/
A la mémoire du maître-torpilleur José Caja, le chef de mon père, qui a trouvé la mort , lors de la libération de Sarraltroff, sur le char Dunkerque du régiment blindé de fusiliers marins de la 2e DB
Photo prise lors du 50 anniversaire de la libération de Sarraltroff, mon père et Pierre Messmer
Ancien des FFL 55 après, mon père Guillaume Le Borgne reçoit la Médaille militaire
C' est grace à moi qu' il a eu la Médaille militaire plus prestigieuse que la Légion d' honneur .J' avais écrit une lettre au Président de la République Jacques Chirac pour une autre médaille.
Son attaché militaire m' avait téléphoné après . Ili m' a dit qu' il connaissait bien mon père et notre famille et il m' avait promis qu' il ferait quelque chose pour moi ! Il le fit et aussi pour les oubliés de la Croix de Guerre à citations comme mon père lors du Décret du 8 décembre 1999 portant concession de la médaille militaire
Guillaume Le Borgne, une figure connue au Huelgoat, ancien commerçant
(bijouterie) place Aristide Briand, est très populaire et apprécié. A
l'occasion des cérémonies commémoratives de l'Appel du 18 juin 1940 il a
été décoré de la médaille militaire par son ami de Plouyé, Joseph
Guillou, chevalier de la Légion d'honneur, également médaillé militaire
et ancien, comme Guillaume, des Forces Françaises Libres (1940-1944).
Guillaume Le Borgne, né le 18 juin 1922 à Plouyé, est engagé
volontaire dans la marine en 1940. En 1942, il est dirigé sur Bizerte
il déserte pour rejoindre les anglais le 9 novembre 1942 quand Bizerte
est occupé par les Forces de l' Axe , où il est incorporé dans les
colonnes motorisées FL du général Leclerc, transformées en division
blindée sous le nom de 2 e DB. Le quartier-maître pointeur-tireur
Guillaume Le Borgne débarque en août 1944 en Normandie et participe,
avec son char, à la campagne de France, puis d'Alsace jusqu'à la
libération de Strasbourg le 24 novembre 1944. La 2 e DB est ensuite
envoyée sur le front de l'Atlantique pour délivrer la poche de Royan. En
avril 1945 les chars du général Leclerc participent aux ultimes combats
en Allemagne pour atteindre, le 5 mai, Berchtesgaden, et le « Berghof »
où résidait Hitler, juste avant la capitulation le 8 mai. Guillaume Le
Borgne était déjà titulaire de la Croix de guerre avec trois citations
avant cette distinction qu'il a reçue le jour de son anniversaire
https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20000622&article=20000622-1291797&type=ar
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000763966&categorieLien=id
Le
Huelgoat ville de garnison durant la Grande Guerre
Mon expo à la Mairie
Les
huit documents, installés sur des grands panneaux par l’employé communal Serge Losquin, mardi 6 novembre, dans l’après-midi, seront visibles depuis l’extérieur. Cette exposition est le résultat des recherches de Philippe Le Borgne. Il a collecté des témoignages de Huelgoat, ville de garnison ayant accueilli sur son territoire le 72e
régiment d’infanterie.
La maison de retraite Mont Leroux aurait servi d’hôpital pour les militaires blessés ou malades. Une photographie représente une tranchée "1914- 1918 " au Fao , près d’un champ portant le nom de « garenne des tranchées »
. Un texte retrace les évènements sanglants de la bataille du 22 août 1914 à Maissin au cours de laquelle huit soldats de Huelgoat seraient morts pour la France. D’autres photographies montrent le maréchal Foch en visite à Huelgoat en septembre 1921, en compagnie du maire de l’époque, Louis Lallouet, et l’inauguration du monument aux morts à la chapelle des cieux, en présence du sous-préfet, Jean Moulin, le 6 mars 1932.
Une page d’histoire riche en renseignements.La cérémonie du 11-Novembre pour le centenaire de la fin de la Grande Guerre sera marquée cette année par une exposition de documents et d’anciennes cartes postales témoignant de cette période dans la salle des mariages.
https://www.letelegramme.fr/finistere/huelgoat/exposition-des-temoignages-sur-la-grande-guerre-07-11-2018-12126499.php#JE3wE4JZR3b540WF.99
http://an-uhelgoad.franceserv.com/images/exposition-mairie.pdf
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/client/mdh/base_morts_pour_la_france_premiere_guerre/index.php
http://an-uhelgoad.franceserv.com/images/exposition-mairie.pdf
http://an-uhelgoad.franceserv.com/images/liste-monument191403.pdf
Sur le Monument aux morts 95 victimes de la guerre 1914- 1918, 55 victimes militaires ,résistants, fusillés et civils massacrés de la guerre 1939-1945.et quatre des guerres coloniales.
Les victimes décédées suite de la guerre après 1919 et 1946 malgré qu'ils soient reconnus " Mort pour la France " vu que leurs veuves et leurs familles eurent une pension et que leurs enfants furent reconnus pupilles de la Nation comme le fut mon grand-oncle de Srcignac ne sont pas sur cette liste .
Il était devant la chapelle Notre Dame des Cieux ( dédiée à la Vierge au glaive) ,il a été déplacé en 2004 devant la mairie( trop de marches pour y accéder pour nos anciens combattants ).Il a été inauguré par Jean Moulin le sous préfet de Chataulin le 6 mars
1932 .
Le 22 août 1914, jour le plus sanglant de l'histoire de France
Sur le front occidental en automne 1914, plus de 300.000 Français perdent la vie, dont 40.000 lors des premiers chocs des 20 au 23 août 1914, ainsi que 260.000 Allemands et plus de 12.000 soldats belges.
La plupart finissent dans des fosses communes.Aujourd’hui encore, les fosses communes pérennisées dans les cimetières militaires contiennent à 90% des soldats tombés en 1914
La bataille de Maissin Un carnage plus de 9000 victimes militaires des deux cotés et civiles belges en cette seule journée
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maissin_(Belgique)#/media/Fichier:Cimeti%C3%A8re_militaire_franco-allemand_Maissin_2011_b.jpg
https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9cropole_militaire_franco-allemande_de_Maissin#/media/Fichier:Maissin_-_Cimetiere_militaire_1.jpg
La bataille des Frontières
7 000 soldats français trouverent la mort lors de la bataille de Rossignol
Environ 27 000 soldats français ont perdu la vie pendant cette seule journée du 22 août 1914, faisant de cette journée le jour le plus meurtrier de l'Histoire de France dont 16 940 morts français ce jour là pendant la Bataille des frontières en Belgique. Au regard des pertes alliées des batailles de Normandie qui sont de 40 000 militaires. Omaha Beach la sanglante 2500 morts américains.
Mais aujourd’hui qui connaît les batailles de Maissin et de Rossignol
en Belgique .On a occulté ces carnages, ces milliers de bretons et vendéens qui sont morts et disparus sous la mitraille des Allemands dans ces deux seules hécatombes. Pour Huelgoat j’ai recensé sur le monument au morts 8 morts ce jour là en Belgique tous du même régiment de copains du 118e R.I de QUIMPER.
AUGES Pierre Louis Marie
AUTRET Guillaume Marie
JAFFRENNOU Jean Louis
LE BEC Joseph
MORVAN Joseph Marie
QUEMENER Jean Louis
RITZ François Marie
LE GOFF Jean Marie Rossignol
François Marie RITZ .Il était le fils hors marige du premier adjoint au maire . C' est pourquoi il est le premier de la liste des noms du Monument aux morts
La bataille de Maissin côté français : 4 500 hommes sont blessés ou tués. . Côté allemand : les pertes furent équivalentes et particulièrement dures à la XXVe division (3 676 hommes). Le régiment de la Garde grand-ducale hessoise, le 115e grenadiers perdit 27 officiers et 760 fantassins
1300 soldats finistériens sont morts ce 22 août 1914, là dont 500 à Maissin
http://www.sambre-marne-yser.be/article.php3?id_article=106
http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=29081&dpt=29&idsource=34459&table=bp05
Combat de Maissin (22 août 1914)
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/client/mdh/base_morts_pour_la_france_premiere_guerre/index.php
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140619_00492669
C’est la doctrine de l’offensive à outrance du début de la guerre du haut commandement ,Ce genre d’attaques faisait la part trop belle aux Allemands retranchés derrière leurs resaux de fils de fer barbellés et munis d’armes automatiques. Les pertes françaises de ce combat de Maissin se chiffrent à 99 officiers et
4.085 hommes en majorité bretonne dont 7 huelgoatains.à Maissin
http://www.quememoires.org/la-bataille-des-frontieres-22-aout-1914/
https://www.youtube.com/watch?v=v0OwbmR23ig
https://www.quemeneven1418.org/la-bataille-des-frontieres-22-aout-1914/
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/la-bataille-de-maissin-aout-1914
http://87dit.canalblog.com/archives/2013/10/09/28181649.html
http://www.tvlux.be/video/un-jour-en-enfer-ep-11-maissin-porcheresse_17006.html
https://fr.calameo.com/read/002603450be694c7f43b9
http://an-uhelgoad.franceserv.com/images/liste-monument191403.pdf
|
Le Hüelgoat ville de garnison durant la Grande Guerre
Le lundi de Pâques 1944, un vaguemestre allemand, chargé de liaison est
abattu sur le territoire de la commune de Locmaria-Berrien par deux maquisards
venus de la direction de Loqueffret. Les Allemands procèdent alors à une rafle d'une vingtaine de jeunes de la commune.
Coups de crosse sur le visage, la tête, brutalités, et pendant six heures ils restent figés devant une
mitrailleuse mise en batterie par deux servants, attendant d'être fixés sur leur
sort.L'interrogatoire se prolonge. Si Schaad, venu de
Landerneau, paraît croire à leur
innocence, il n'en est pas de même du
commandant du soldat tué qui insiste
pour que justice (!) soit faite et les jeunes exécutés.Fort heureusement, un docteur du Huelgoat, qui hébergeait
chez lui un officier supérieur, défendit leur
cause et obtint la libération des
jeunes, dont la plupart se retrouvèrent au maquis Récit de M. Pierre Rannou . (2).
Ce que m’a conté ma mère de cette
histoire est que cet allemand d’ un certain âge était un bon allemand obligé d’ être là, il était avec
son vélo et n’était pas armé, il revenait
des cafés du bourg
de Poullaouen et rentrait à son
campement de la Coudraie. Comme nous aussi les français en Algérie, les
lois de la guerre sont là où un militaire
avait tué ou blessé par des civils ceux sont toujours
des rafles dans la population des alentours. Cela ce fut le ça ici, ils prirent
une vingtaine d’otages dans la population de Poullaouen soi pour les déporter en Allemagne ou pour les fusilier ailleurs .
Ceci auraient du l’ être sans l’ intervention
de notre docteur de famille Margarita
du Huelgoat au generalleutnant Richard Schimf commandant du
secteur de la 3. Fallschirmjäger-Division , je pense vu à du
parcours militaire sans taches d' exactions sur des civils Richard Schimf après le débarquement ,s’ il avait été un vrai
nazi, il y aurait eu une dizaine de déportations sans
retour. Quand même les
allemands prirent un notable comme otage ce fut
Jean Le Gac le notaire de Poullaouen qui fut déporté au camp de
concentration de Buchenvwald Dara
Un Franc-Tireur dans les Monts d' Arrée de Marcel Clédic
Jean-Yves a recueilli plusieurs témoignages de trois anciens de sa commune dont il est originaire Scrignac :
Dans le bourg qui avait était bombardé par les anglais le matin du 29 juillet 1944 et ses 23 innocentes victimes dont toute une famille entière réfugiée au bourg.Occulté de la mémoire Il n' a pas pas de plaque commémorative au bourg de Scrignac
18 allemands étaient prisonniers dont deux femmes au bourg de Scrignac qui avaient été confiés vers le 6 août 1944 à la Résistance locale lors de l'avance rapide sur Brest par les forces américaines , Ces prisonniers allemands étaient en fait que des gosses de moins de 18 ans, dont un avait une quinzaine d' années, ils furent passés par les armes à bout portant par les résistants dans un local public qui n' avait pas été détruit par le bombardement du bourg de Scrignac
.Un des jeunes allemands ,réussit à s’ échapper à ce massacre fut pourchasser , fut repris et fut exécuter sur le champ. au village du Rest . la fosse doit être toujours là et ses 18 cadavres enterrés quelque part au bourg.? .Sordide! Une du pays était descendue dans la fosse pour récupérer les sacs à main des deux allemandes !
On ne raconte pas ces choses très graves ,74 ans après ,si n'était pas vrai ! Il a ses sources, cela doit être vrai! Encore deux de ces témoins de ces crimes de guerre par des français sont toujours en vie !
La malédiction posthume de L’abbé Perrot aux gens de Scrignac.
. L’abbé Perrot sur le massacre du bombardement britannique du viaduc de Morlaix du 29 janvier 1943 à 14 h 15: de l' école de Notre-Dame-des-Anges où trente-neuf enfants furent tués:
Analogue à celui ordonné par « le cruel roi Hérode » : « Crime horrible! » (« Torfed euzus! »), « ceux qui sont responsables du massacre » d’arrêter de « faire le mal », mais hélas, , « c’est l’Esprit-Malin qui sème le malheur ». Ici, la mort des enfants n’est pas renvoyée aux desseins insondables de la Providence, mais attribuée aux manoeuvres de Satan.
Une légende??
Je ne le pense pas, plusieurs témoignages différents le confirment ,des prisonniers allemands qui s'étaient rendus aux résistants FTP furent passés par les armes et leurs cadavres jetés dans le Gouffre. Ce qui explique le pourquoi du raid par les allemands sur Brasparts le 16 août 1944 ?
http://www.wiki-brest.net/index.php/Ao%C3%BBt_1944_%C3%A0_Irvillac
Ces exactions sur des prisonniers allemands peuvent qu' être perpétuées que par des étrangers au pays ,ces soi -disant résistants, ces voyous des villes qui terrifiaient la population de nos campagnes qui n' étaient pas originaires de nos cantons de la Montagne . Il y a eu peu de témoins locaux directs de ces crimes de guerre de Scrignac mais ceux ci ne pouvaient pas en parler, un détail
de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale car les acteurs de ces faits ignobles n'étaient pas de la région et que la vrai Résistance locale aurait été salie.
.On parle trop encore actuellement de l' assassinat du recteur de Scrignac l' abbé Perrot en décembre 1943 pour moi il avait bien cherché sa mort avec ses propos germanophiles lors de ses sermons à l' église (l'eau et l 'électricité dans toutes les fermes en Allemagne). Mais le fait c'est que la mémoire se pert dans mon
pays de l' Arrez Qui sait qu' il ya eu des bombardements des alliés au bourg de Scrignac le matin du 29 juillet 1944 et qu' il y a eu une vingtaine victimes civiles Cela m'offusque!
1 L'occupation (Le finistère dans la guerre tome 1) 1980 de
Le Grand Alain Thomas Geirges Michel
2 Le Finistère dans la guerre 1939 1945 Tome 2 La Libération de Le Grand Alain Thomas Geirges Michel